vendredi 29 mai 2015

" Comme nous, certainement, vous aimez notre pays la France. .."

VERS LA RENAISSANCE D'UNE NATION

Par Jacques CLOSTERMANN - St Victoret - Février 2015
Président de Mon Pays la France
Administrateur du RBM, Délégué National auprès du Secrétaire Général.

" Bienvenu dans « Mon Pays La France », et merci de nous rejoindre aujourd'hui."

" Comme nous, certainement, vous aimez notre pays la France. Comme nous, vous êtes sensibles à tout ce qui est contenu dans ce nom, la France.

Tout simplement parce que c'est notre pays, le lieu où notre famille, nos parents, nos ancêtres possèdent une histoire commune.

Une histoire, cela suppose que le temps a passé et que bien des choses accumulées aient produite ce que nous sommes devenus aujourd'hui. Cela s'appelle avoir un " chez nous "  Un « chez nous » ni fermé aux autres, ni au monde. Ouvert, mais à l'unique condition que ceux qui veulent le rejoindre respectent ce que nous sommes, et surtout, ce que nous avons été. En quelque sorte, un club dont il faut respecter les règles si on souhaite y adhérer.

Car ce que nous aimons, ce qui nous fait vibrer, ce qui fait que nous ne vivons pas « hors sol », mais les pieds solidement ancrés dans la terre de nos ancêtres, ce sont deux mille ans d'histoire vécus sur une terre exceptionnelle.

Et nous avons le droit d'y être sensibles.

Nous avons le droit de vibrer aux lumières de la Provence qui inspiraient tant nos peintres,
nous avons le droit de vibrer devant les côtes découpées de Bretagne et la beauté de l'Ile de Bréhat,
nous avons le droit d'être émus par le magnificence de nos chaînes montagneuses, ou encore par la rude austérité des toits en lauzes du Massif Central.
Bref, nous avons le droit d'être admiratifs devant tant de beautés.

Nous avons le droit de reconnaître comme magnifique ce formidable patrimoine que sont nos abbayes, ou encore les châteaux de nos anciens rois.
Nous avons le droit d'admirer nos fabuleuses cathédrales et de reconnaître qu'elles sont nées d'une grande idée, qui a permis de faire vivre ensemble les hommes pendant deux mille ans.
Nous avons le droit d'assumer le fait que nous provenons de la Chrétienté, et de reconnaître, sans bigoterie aucune, ce que nous devons à l'Eglise Romaine : notre première constitution civile, qui organisa l'assistance aux pauvres, les soins aux malades, l'éducation aux enfants, la compassion aux souffrants, la répression des fauteurs de guerre par « la trêve de Dieu , et la première justice moderne, celle que les étudiants de la Sorbonne réclamèrent à Philippe Auguste au XIII siècle ». Et tant de choses encore...

Sans oublier nos racines judéo-chrétiennes, et nous savons bien que les juifs ont toute leur place dans une Histoire partagée avec eux.

Bref, nous avons le droit d'être émus devant tant de grandeur.

« Mon Pays La France » chérit tous les éléments qui se sont agrégés au fil du temps, pour constituer aujourd'hui une nation, et nous sommes fiers de cet héritage.

Nous comprenons aussi qu'étant mal informés, et incomplètement instruits des leçons de notre histoire, certains puissent ne pas être sensibles à l'émotion qui nous transporte.

Ancien de vieille souche ou nouveau venu des terres de l'immigration, pour que chacun adhère à la communauté de la nation française, il aurait fallu que le message soit retransmis par ceux qui ont revendiqué la charge de conduire le pays : les hommes et les femmes, comme on dit aujourd'hui, « entrés en politique ».

Or ceux-ci ont trahi le peuple français et, confisquant l'idée de nation au profit d'improbable et plutôt ridicule « vivre-ensemble », par leurs mensonges répétés, ont dispersé au vent des éléments de cohésion qui transformaient cet ensemble en une véritable « communauté de destin »


« Nos ancêtres les gaulois », appris et récité par cœur dans nos écoles primaires, était la première pierre angulaire à la construction mentale de cet édifice formidable qu’est la nation française, où l’homme, sujet du roi, puis citoyen après la révolution, se sentait chez lui parce qu’il savait ce qu’il devait au passé. Et même si ses ancêtres n’étaient pas tout à fait gaulois… il était prêt à partager quelque chose au sein d’une grande communauté. Ceci indépendamment de la couleur de peau ou de l’origine, mais avec la même base culturelle et en acceptant l’héritage. La France est une communauté multiethnique et multiraciale, en aucun cas multiculturelle, qui serait alors source de communautarisme et de ghettoïsation, nous le savons bien .
Ceux qui exhortent aujourd’hui bien imprudemment les minorités à faire valoir leurs particularismes et transformer ceux-ci en droits, ou encore appelant sans cesse à une impudente repentance, se doivent de relire Renan : la première condition posée à l’édification de cet édifice est de savoir tourner la page, acceptant ainsi l’héritage dans ce qu’il recueille de pire et de meilleur. « Good or Bad but my country ».


Aujourd’hui, si vous adhérez à cette idée pourtant bien raisonnable, d’arrogants censeurs feront de vous des passéistes, des racistes, des rétrogrades, des réactionnaires, voire des « sous-citoyens »… Vous serez accusés, stigmatisés, marginalisés, à défaut d’être pendus dans l’heure.

Nos responsables politiques, hélas bien mauvais et malhonnêtes bergers, ont préféré orienter les français, désormais animaux de laboratoire, vers des expériences sociétales où le citoyen-cobaye est prié de faire table rase de son héritage, et l’inciter à se diriger vers d’autres rivages qui sont autant de foires aux illusions…"

Ainsi, avec l'Europe, nous devrions parvenir au plein emploi, élever notre niveau de vie, construire une véritable citoyenneté européenne et, sans doute... guérir les écrouelles. Sans parler de l'Europe sociale, de la Défense ou de la Diplomatie, totalement absentes.

A la sortie de l'éprouvette nous avons chômage de masse, paupérisation d'un peuple, recul des prestations sociales, immigration incontrôlée, insécurité partout et, peut-être, demain la guerre. Mais dans ce jeu de dupe, chacun pourra épouser qui il voudra, et les filles seront invitées à se sentir un peu moins filles, et les garçons un peu moins garçons. Bref, nous en sortirons libre de penser à l'envers, mais pauvres... Etait-ce bien le mandat que nous avions confié à nos « politiques » ?." La suite ici :

Et la France dans tout cela ?



Facebook : Alain Février
Twitter : alain Février @fiatlux

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