jeudi 27 février 2014

37 ans de pouvoir aux mains d'une gauche plurielle, puis du PS local. Ils ont toujours été aux pieds d'un groupe florissant : Transexel-via GTI-Cotra-Keolis irigo


Départ à la retraite, hier soir,
C'est plus bas...
Ces Savants Audacieux qui «triturent leurs méninges» en ouvrant une enquête sur un anaconda. Selon des féministes, faut saisir la Justice, pour ce crime de lèse-majesté ?. Pour qui est le serpent qui siffle sur sa tête. Philippe Candeloro qui commente, sans détours, il glisse, quelquefois, des analyses critiques "pas piqué des vers" !. Hé alors ?.


«C'est Juste Mon Avis», une chronique du bon Jean-Michel Aphatie. Toute la semaine sur RTL à 6h50 le matin Il ne faut pas la rater.
« Commentaires de Candeloro : le CSA enquête sur l'anaconda »
Les Jeux Olympiques de Sotchi se sont terminés dimanche. Mais quelques polémiques demeurent.

Depuis soixante dix-sept, la gauche a fait son beurre.
La Studa évincée, elle laisse un goût de rance.
Transexel et S.G. ambitieux repreneurs,
Aux discrètes méthodes, ont mis la main dessus. 
Leur plan était ficelé sans aucune concurrence 
Ils renvoient en Afrique, l'ex-dirigeant déchu.

Cette régie des Transports vivait ses dernières heures.
Les caisses laissées vides, élus en dépendance,
Ils manquent d'expérience, la Gauche vient d'être élue.
Maire, syndicat maison, pour eux, c'est le bonheur
L'affaire était pliée, même les licenciements,
Les avantages acquis, la gauche avait sévi !.
Cette société de Transports n'a aucun sentiment.
Une grève de traminots, un mouvement bien suivi,
Elle dura 24 jours, les meubles étaient sauvés.
Un accord arraché, avantages négociés.
Ils sont toujours en cours, malgré la conjoncture.
Hier soir, à La Fontaine, pas très loin du dépôt,
Des départs en retraite réveillent le passé.
Querelles et affrontements et des actions plus dures,
Au fil des changements, Studa à Irigo.
Toutes ces années passées, les aléas de la vie,
Souvenirs se bousculent, anecdotes racontées
Bernard et Dominique, les Jean, Jean-Claude et Jacques,
Eliane, Sylvie, Michel, Rémy et Louis-Marie...,
De très nombreux collègues et amis sont d'attaque.
La retraite a sonné, pour les autres, elle viendra.
Les finances publiques, le Tramway les assèchent.
Maintenance au Cocon,  le coût s'élévera
Au fil des années, attention à la dèche !.

zen49.blogspot. le 27.02.2014


Bonne et heureuse retraite




Facebook : alain Février
Tweeter : @fiatlux49 et avant @patchou49 ?

mercredi 26 février 2014

Scandale de Panama...Similitudes entre la fin du XIXème, IIIème République et ce début du XXIème, Vème République ?.



La banque Kohn et Reinach, le lobby de l'époque,
Deux financiers allemands en sont les dirigeants.
La presse, la politique.succombent à leur réseau
Journalistes soudoyés, députés sans scrupules,
Votent cette loi scélérate, emprunts par souscription
Corruption et pots-de-vin, au menu de l'époque,
Les dindons de la farce, les petits épargnants,
Le journal La Justice de Georges Clémenceau,
C'est un gage qui rassure tous les plus incrédules.
Le peuple savait-il qui paye la rédaction ?.

Journaux antisémites et très nationalistes,
La Cocarde de Barrès et La Libre Parole,
Les antidreyfusards, la ruine financière,
Les manipulations de l'opinion publique,
Sommes-nous des nostalgiques d'une IIIe République ?.
Ecouter, observer, ces postures outrancières,
Chaque jour dans l'Hémicycle, interventions frivoles,
Tous ces parlementaires se moquent des populistes

Ministres et journalistes s'amusent avec nos peurs.
Ils ont ruiné la France, ne savent pas où ils vont.
Faudrait encore les croire et voter pour les leurs.
Pensez à votre avenir, il faut oser dire NON.

De Suez à Panama au crach de vingt-neuf,
Ne soyons plus naïfs face à cette corruption.
L'intérêt général est devenu un bluff,
Pour tous ces politiques sans aucune vision.

Zen-fiatlux.blogspot, le 27.02.2014

Scandale de Panama : «....La commission d'enquête établit que sur les 9,8 millions de francs que Reinach avait reçu pour soudoyer la presse et les députés, il n'en avait dépensé que 3 pour frais de publicité
Un courrier adressé par Jacques de Reinach à Ferdinand de Lesseps laisse entendre que le banquier était victime d'un chantage de la part de son associé Cornélius Herz.». Sources Wilkipédia, archives et livres d'histoires


Jean Jaurès
L'affaire de Panama
Le devoir du Gouvernement
Séance du 8 février 1893

M. Goussot, député boulangiste, interpelle le gouvernement sur la sanction politique qu'il compte donner aux mesures dont le garde des sceaux a pris l'initiative à l'égard de dix membres du Parlement mis en cause dans l'affaire de Panama. Après l'intervention de MM. Goussot, Léon Bourgeois, garde des sceaux, Godefroy, Cavaignac et Ribot, président du conseil, M. Jaurès prend la parole pour tirer de cette scandaleuse affaire l'enseignement social qu'elle comporte.

M. Jaurès. - Je me félicite que ce débat ait échappé aux tristesses des questions et des insinuations personnelles, pour s'élever à la hauteur d'une discussion de politique générale.
Je ne veux pas, je ne peux pas discuter les idées exprimées à cette tribune par M. le président du conseil, par la raison très simple que je n'en ai pas bien saisi les directions essentielles (Rires à droite et sur plusieurs bancs à gauche) et qu'il m'a même paru qu'on y peut relever certaines contradictions. Car au moment même où, avec l'honorable M. Cavaignac, il réclamait la continuation jusqu'au bout de ce qu'on a appelé ici l'oeuvre de lumière, il paraissait qualifier de manoeuvre une politique qui aurait dû trouver meilleur accueil à ses yeux, puisque c'est par son honorable ami qu'elle venait d'être formulée. (Très bien ! à droite.)
Je n'ai, pour moi, retenu qu'une chose : la double condamnation portée à la tribune, et par M. Cavaignac et par M. le président du conseil, contre l'influence abusive et corruptrice de ces puissances d'argent dont notre raison d'être, à nous républicains socialistes, est de hâter la disparition.

M. François Deloncle. - Voilà Carmaux venant au secours de Panama !

M. Jaurès. - Oui, c'est ainsi que nous posons la question ; car ce n'est pas nous qui avons jeté des questions personnelles dans ce débat ; ce n'est pas nous, républicains, qui pouvons voir avec joie l'atteinte portée à ceux qui avant nous ont lutté pour la République, mais nous voulons qu'une conclusion précise, politique et sociale se dégage du débat douloureux et poignant qui se déroule devant le pays.

M. Emmanuel Arène. - Il y a sept ans, vous étiez centre gauche ! (Mouvements divers.)

M. Jaurès. - Vous monsieur, qui m'interrompez ainsi, - je ne me eus pas comme vous dans la lumière de la gloire, - vous êtes excusable de n'avoir pas suivi le mouvement loyal et sincère de ma pensée ; mais en tout cas, lorsque je vois des représentants de ce qu'on appelait autrefois le centre gauche, comme M. Cavaignac, comme M. le président du conseil, apporter ici une critique socialiste de l'Etat actuel... (Rumeurs à gauche et au centre.)

M. Godefroy Cavaignac. - Vous vous trompez ; je n'ai point fait partie du centre gauche.

M. Jaurès. - ... j'ai bien le droit, à mon sens, j'ai bien le droit, moi aussi, de rendre témoignage aux idées qu'en dépit de vous, depuis des années, je soutiens dans le pays.
Je me permets de dire à l'honorable M. Cavaignac et à M. le président du conseil qu'il ne suffit pas d'apporter ici des protestations indignées. Ce n'est pas Juvénal qui est chargé de conduire les affaires du pays ; il ne suffit pas de flétrir et de dénoncer les scandales, il faut dire encore comment on entend les déraciner et en empêcher le retour.

M. Millerand. - Très bien ! très bien !

M. Jaurès. - Eh bien, depuis quelques années, entre les intentions généreuses, honnêtes, qui viennent d'être exprimées ici, et la politique des gouvernements successifs, il y a une contradiction singulière. (Très bien ! à droite.)
Que voyons-nous en effet ? Qu'avons-nous constaté dans cette triste affaire de Panama ? D'abord - je le dis nettement - que la puissance de l'argent avait réussi à s'emparer des organes de l'opinion et à fausser à sa source, c'est-à-dire dans l'information publique, la conscience nationale.
Plusieurs membres à gauche. - Très bien ! très bien !

M. Jaurès. - Or, au moment même où se pratiquait cette sorte de sophistication de la pensée publique, il y avait dans des centres ouvriers des syndicats qui se cotisaient pour fonder des journaux non pas avec de l'argent pris ici ou là à des banques nationales ou cosmopolites, mais avec l'épargne prélevée sur les salaires. C'était là une ébauche de la presse loyale représentant vraiment l'opinion, et cette presse instituée par les syndicats des travailleurs, vous l'avez interdite. (Applaudissements sur quelques bancs à gauche.)

M. Le président du conseil. - Non !

M. Jaurès. - Et puis, que constatons-nous, messieurs ? C'est qu'il a surgi dans ce pays des institutions financières et capitalistes qui se sont emparées des chemins de fer, de la banque, des grandes entreprises, qui ont avoué avoir leurs caisses de fonds secrets avec lesquelles communiquait la caisse des fonds secrets gouvernementaux pour établir l'équilibre.
Je dis qu'au moment où l'on fait une constatation semblable, qu'au moment où l'on voit qu'un Etat nouveau, l'Etat financier, a surgi dans l'Etat démocratique, avec sa puissance à lui, ses ressorts à lui, ses organes à lui, ses fonds secrets à lui, c'est une contradiction lamentable que de ne pas entreprendre la lutte contre cette puissance qui détient les chemins de fer, les banques, toutes les grandes entreprises. (Applaudissements à l'extrême gauche.)
Et enfin quelle est la constatation la plus douloureuse qui ressort du procès qui a été engagé ?
Si dans toutes les affaires qui se sont produites, il était facile de faire le départ entre ce qui est honnête et ce qui est malhonnête, s'il était facile d'absoudre à coup sûr et de condamner à coup sûr, oui, la conscience publique serait aisément satisfaite ; mais ce qui la trouble, ce qui la bouleverse, ce qui vous obligera à chercher des solutions sociales nouvelles pour rétablir la conscience humaine dans son équilibre, c'est précisément que dans l'ordre social actuel, avec le tour nouveau qu'ont pris les entreprises et les affaires, le divorce grandissant de la propriété et du travail, il est impossible de discerner sûrement l'honnêteté et la malhonnêteté, l'entreprise loyale de l'escroquerie ; c'est que nous assistons à une sorte de décomposition sociale, où on ne peut dire que telle nuance s'arrête à la probité légale, tandis que telle autre se rapproche de l'infamie. (Interruptions.)

M. le Président. - Veuillez écouter en silence, messieurs ; toutes les opinions ont le droit de se produire à la tribune.

M. Jaurès. - Et j'espère, monsieur le président, que celle-ci a le droit de se produire ici, car elle est la traduction concrète du sentiment d'honnêteté qui est dans toutes les consciences.

Je dis qu'il ne suffit pas d'apporter de vagues protestations d'honnêteté comme celles qu'apportait à la tribune M. Cavaignac, mais qu'à des solutions morales nouvelles, il faut donner comme sanction et garantie des solutions sociales nouvelles. (Très bien ! sur divers bancs à gauche.)

Oui, M. le président du conseil avait raison de dire que ce n'est pas là, - et c'est le seul point sur lequel je sois pleinement d'accord avec lui, - que ce n'est pas là un étroit procès instruit contre quelques hommes entre les murs étroits d'un prétoire ; c'est le procès de l'ordre social finissant qui est commencé, et nous sommes ici pour y substituer un ordre social plus juste. (Applaudissements sur quelques bancs à gauche. - Mouvements divers.)

Comme sanction à son intervention, M. Jaurès dépose l'ordre du jour suivant :
« La Chambre, convaincue que l'application résolue et méthodique de la politique socialiste est seule de nature à mettre fin aux scandales qui sont la conséquence naturelle et nécessaire du régime économique actuel, passe à l'ordre du jour. »

La priorité en faveur de cet ordre du jour, signé de MM. Jaurès et Millerand, est repoussée par 420 voix contre 87.
La discussion de l'interpellation prend fin par le vote de l'ordre du jour déposé par M. Cavaignac et adopté par les 522 votants.
En voici le texte :
« La Chambre, décidée à soutenir le gouvernement dans la répression de tous les faits de corruption, et résolue à empêcher le retour des pratiques gouvernementales qu'elle réprouve, passe à l'ordre du jour. »

samedi 22 février 2014

M. POUIC, le canard Corrézien et son ami Zen vous livrent, le plus sérieusement du monde, leur sondage électoral pour le scrutin du 23 mars

 
La France publique, privée, il y a bien deux mondes,
Un taux d'absentéisme doublé dans le public.
Licenciés par milliers dans le secteur privé.
Ils sont tous reclassés dans le secteur public.
Calcul de la retraite, 25 meilleures années
Pour les gens du privé, pour tous les fonctionnaires,
6 derniers mois suffisent, ils sont d'un autre monde !.
Que font-ils ces élus aux pouvoirs arbitraires ?.

Quand les emprunts toxiques referont parler d'eux.
Quand leur indexation sur des monnaies puissantes,
Parité dollar-yen, franc suisse, euro frivole.
Leurs intérêts d'emprunts et leurs remboursements
Au fil des années, s'avéreront ruineux.
Depuis plus de trente ans, des collectivités croissantes,
Cantons, départements, régions, et métropoles,
Avantages et mandats, plus cumuls indécents,

Il faut trouver une place aux 600 000 élus,
Communautés de communes pour 36 000 communes,
Sont-ils irresponsables ou politiques cupides ?.
Que dire des gaspillages et de tous les abus,
ils sont tous à l'abri d'un revers de fortune
Leurs électeurs sont là, contribuables stupides

La richesse nationale, chaque jour, elle s'épuise,
La paupérisation, chaque jour, elle augmente,
Les impôts et les taxes, répression à leur guise
Les uniques responsables, vous les avez élus.
Ils sont incompétents, adorent les voyages,
Et, surtout les bonnes tables aux addition démentes.
Les finances publiques s'assèchent de plus en plus
Compétents, économes, iront votre suffrage.

Notre belle ville de Lyon n'est pas l'exemple à suivre,
Accorde des subventions à la Casbah d'Alger.
Finance ses ambassades à New-York et Tokyo.
La Silicon Valley a fait tourner les têtes
D'Angers-Loire-Métropole, attention au yo-yo.
Avoir des ambitions pour notre ville d'Angers,
Être en mesure de faire pour pouvoir les faire vivre
La défiance est de mise, ignorée des grosses têtes.
Zen-fiatlux.blogspot, le 22 février 2014

M. POUIC, le corrèzien
Questions posées à environ 250 personnes sur Belle-Beille, Roseraie, Monplaisir, Quartiers centre-ville, Justices-Madeleine-St Léonard, Banchais, Bichon.

Irez-vous voter aux élections municipales ?
Oui 45%, Non 35% , Sans réponse 20%

Avez-vous confiance dans votre maire ?
Oui 30%, Non 50% , Sans réponse 20%

êtes-vous satisfait de votre situation personnelle ?
Oui 30%, Non 60%, Sans réponse 10%

Payez-vous trop d'impôts Oui à 80%
Payez-vous trop d'impôts locaux Oui :
(Foncier, Oui 95% et Cote mobilière Oui 80% )

Vos fins de mois sans être à découvert
OUI à 15%, donc plus de 80% seraient dans le rouge.

Soutenez-vous un parti politique,
Oui à 10%, lequel sans réponse à 90%

Voteriez-vous pour le Front National
Oui à 15%, Non à 30%, Les autres ne se prononcent pas
ou ne voteront pas.

Voteriez-vous pour Marine Le Pen
Oui à 35%, Non à 25%, 10% indécis, 30% ne voteront pas

Dans les discussions de bistrots, chez les commerçants, dans les galleries marchandes, dans la rue, les gens sont énervés et parfois agressifs, lorsqu'on aborde la politique locale et nationale. En fonction de cette approche personnelle, M. Pouic, le canard corrèzien, vous livre son impression personnelle en toute simplicité et sans ambages. Les sondages "officiels" sont parfois bidonnés :

Il y a six ans déjà ! 
En cas de grossière erreur de M.POUIC,
Ce serait bien étonnant, enfin sait-on jamais,
La jurisprudence s'exercera-t-elle ?.
Valable pour le 1er tour, le 23 mars :

Christophe Béchu : UMP-Modem 33% ~~ 30%
Frédéric Béatse : PS-EELV-PCF, 24% ~~ 22%
Gaétan Dirand : FN-RBM 15% ~~ 16%
Hubert Lardeux : POI 2% ~~
Jean-Luc Rotureau : DVG, 15% ~~ 17%
Laurent Gérault : UDI 6% ~~ 8%
Marie-José Faligant : LO 1,5% ~~
Martin Nivault : NPA-PG 1,5% ~~
Nathalie Sévaux : sans étiquette 2% ~~

Un nouveau sondage de M. POUIC pour la deuxième semaine de mars, après le passage de Marine Le Pen.

Berges de maine, direction PARIS


Facebook : alain Février
Tweeter : @fiatlux49 et avant @patchou49 ?

Quand un projet, municipal, régionnal, est financièrement "abracadabrantesque", les contribuables, citoyennes et citoyens, Ils devraient être consultés par référendum local.

mercredi 19 février 2014

Municipales angevines, premier débat entre huit têtes de listes déclarées sur neuf [candidat Bleu Marine excusé]

Le Quai, lieu du 1er débat entre les candidats à l'élection municipale d'Angers, le mercredi soir 19 février 2014, sous la houlette du Courrier de l'Ouest, 
Yves Tréca - Durand -
Angers Télé, Fabrice Gasdon - Angers Mag info, Yves Boiteau

Pardon aux candidats pour la piètre qualité de cette photo
 
De gauche à droite : Martin Nivault : NPA-PG, Marie-José Faligant : LO, Frédéric Béatse : PS-EELV-PCF, Nathalie Sévaux : sans étiquette, Laurent Gérault : UDI, Jean-Luc Rotureau : DVG, Hubert Lardeux : POI, Christophe Béchu : UMP-Modem

Angers est dans le rouge en 2012-2013
2013, baisse de 9% des offres d'emplois, 5 700 chômeurs catégorie A, Dépôt de bilan, chiffres Tribunal de commerce : 2013 : 327, soit 3 000 emplois de perdus, en 2012 : 260. Hier soir, j'ai appris de la bouche d'Hubert Lardeux : "...personnes âgées de plus de 50 ans...!"
Rappel : Usine de retraitement des déchêts à St Barthélémy d'Anjou, une catastrophe écologique et sanitaire. VEOLIA-VIVENDI en procédure, des maisons environnantes seraient rachetées par ALM !.

Tramway, 2ème ligne, ou bout de ligne, ou rien pour l'instant...Ou bien une ligne de BUS-WAY en site propre, plus rapide et beaucoup moins onéreuse, proposition de la sympathique candidate  Nathalie Sévaux : sans étiquette

Rives de Maine, à chacun sa chacune, ce sont les sous qui manquent et les impôts locaux qui vont flamber ; le foncier a déjà atteint des sommets !.


Première flèche décochée sur les invitations,
M. Dirand FN n'a pas daigné répondre.
Ce VRP travaille, mauvaise information,
Cette polémique est close, stop à l'esprit de fronde.

Electrices, électeurs, soyez reconnaissants
Envers ces volontaires qui s'engagent pour ANGERS.
Les motifs de leur choix, peu importe, ils y croient.
Emplois, Technicolor et grands investissements,
A chacune, à chacun, son avenir florissant,
Pragmatisme, utopie, ils ont de grandes idées.
Cet endettement croissant, c'est le cheval de Troie,
Qui freine les projets, automatiquement
Site du Nouvel Obs [organe très proche du pouvoir socialiste] sondages élections municipales Angers :
36% Christophe Béchu : UMP-Modem
30% Frédéric Béatse : PS-EELV-PCF
14% Jean-Luc Rotureau : DVG,
7 % Gaétan Dirand : FN-RBM
5%  Laurent Gérault : UDI,
Etc
Oh sondages ennemis qui deviennent des amis

«le mérite d'exister» ce sondage Nouvel Obs,
La réponse de Béatse peut paraître banale.
Chercher la petite bête pour dénoncer un coup.
Ce sondage il est flou, y'a forcément un loup.
Le dix-sept février, Pouic a ouvert le bal.
Le canard corrézien, spécialistes des lob's,
A été le premier a dire ses préférences.
Son sondage de sam'di fera la différence.

M. Pouic, canard corrèzien, mr sondage
Existe-t-elle encore  cette boîte de sondage de la grande famille KHEOLIA-K...?


Qui se souvient encore des dernières élections,
D'un sondage Kheolia reconnu bidonné :
Mardi 12 février 2008
http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2008/02/larchlogie-compare-des-sondages.html


Premier débat au Quai, la question reste posée
Il en faudrait combien de barons Hausmannien
Si l'on souhaite vraiment, un ANGERS transformé ?.
Notre Oppidum gaulois, riche cité romaine,
Cité des Plantagenêts, elle possède des biens.
Ils sont sous surveillance du Service des Domaines.

Une grande partie des berges de maine, pas si simple de sauter une rivière 
 
Premier des deux débats fixés le 19 février à Le Quai et le 19 mars à Belle-Beille. Le trosième débat des qualifiés aura lieu entre les deux tours, le 26 mars 2014.



Facebook : alain Février
Tweeter : @fiatlux49 et avant @patchou49 ?

lundi 17 février 2014

Cette entrée en matière se veut volontairement choquante !. " Be your self " - " Soyez vous-même "


Mairie de l'île de Batz

La classe politique serait-elle épargnée ou plutôt inclassable dans ce catalogue de qualificatif injurieux ?.

« Tous les riches sont des pourris.
Les patrons sont des voleurs.
Ouvriers des tire-au-flanc,
Fonctionnaires, tous des fainéants.
Retraités des profiteurs,
Les chômeurs seraient nantis ».

Cette entrée en matière se veut, volontairement choquante. Depuis moins de deux années, Nos politiciens énarques, ministres, parlementaires, du moins leurs porte-parole, ils n'ont cessé de diviser la société française, d'opposer le travail de l'un au travail de l'autre, d'imposer une parité ou une égalité pas toujours désirée, d'attiser les communautés religieuses, en faisant ressurgir la haine et le racisme, de mépriser une partie importante de la population, en lui interdisant d'être représentée au Parlement, de museler sa parole, de bouleverser ses moeurs, de s'en prendre aux familles, aux enfants, la liste est longue...

Dans presque un mois, 36 000 maires seront élus ou réélus. Durant cette campagne électorale, les conseils politiques et les conseils aux politiques vont fleurir et se multiplier dans nos villes et nos campagnes.

Au vu des moyens faramineux de communication déployés par certains candidats, le leitmotiv égalitaire, cher au gouvernement actuel et au parti socialiste, est une outrance. Nos politiques, nous, citoyennes et citoyens, le seul mot qui vient à l'esprit, économies !.

Ce qui suit est un avis personnel à l'attention des candidats maires :

« Be your self » la devise de Facebook : « Soyez vous-même », elle s'adresse, particulièrement aux candidats à cette élection municipale. Est-ce bien un gage de vérité et de sincérité d'un candidat qui fixe son image publique «photoshopée» sur des affiches et des prospectus en guise de propagande électorale ?.

Ce que j'en retiens des attentes de la population, qui a perdu confiance dans les politiques, ce sont des idées neuves dont elle a besoin. Les médias devraient être un véritable relais de la démocratie. De gros progrès restent à accomplir en matière d'impartialité et de démagogie politique.

Démagogie, relais d'opinion, sondages plus ou moins alambiqués, sans pouvoir dégager une communication vérité, ni démontrer un niveau de connaissance et une rigueur intellectuelle, n'importe quel postulant rencontrera d'énormes difficultés pour accéder aux responsabilités publiques.

Quelle politique de la ville en matière d'aménagement public. Où en est véritablement le marché immobilier, le montant des garanties d'emprunt aux bailleurs sociaux et aux sociétés civiles immobilières ?. L'activité des entreprises n'est pas folichonne. Le devenir des reprises, par Angers-Loire-Métropole, de sites industriels, en attente de repreneurs ou de nouvelles activités ?.


Facebook : alain Février
Tweeter : @fiatlux49 et avant @patchou49 ?

samedi 15 février 2014

Campagne élections municipales, démesurée, Intégration à l'insu de son plein gré, Imposer le Vivre ensemble, le PS use de quels droits totalitaires ?. Premier sondage de Mr Pouic


Permanence PS, El. municipales Belle-Beille

Croire à l'intégration des familles d'immigrées
Un bad leitmotiv d'assos communautaires.
Qui trouve sa résonnance auprès d'écervelés.
Socialistes gangrenés par tous ces libertaires.

On ne pourra jamais obliger ses voisins
A vivre comme vous, changer leurs habitudes.
Ils ont rejoint la France, parfois en clandestins.
Le respect de nos lois, c'est leur seule servitude.

A tous ces intégristes de la pensée unique,
Reprenez vos esprits, Camus vous y invite :
Son roman «L'étranger», un jugement inique
Un procureur à charges et un Meursault autiste.

La France, pays de droits, pour tous les étrangers,
Fille aînée de l'église, pays des droits des femmes,
Citoyennes, citoyens, vous seriez un danger
Pour la pensée unique de socialistes infâmes.

 
Permanence PS El. municipales, Monplaisir

Permanences à Belle-Beille, Monplaisir et Roseraie,
Voilà un candidat qui démarche les banlieues.
Sa com est délirante, une campagne à grands frais,
L'électeur-contribuable pouvait s'attendre à mieux.

Permanence PS, El municipales Roseraie

Aux écossais, le kilt, à l'avocat, la robe,
Aux travestis la jupe, les autres créer l'événement,
Moeurs controversés, racistes et homophobes,
Comment peut-on admettre le rôle du Parlement ?.

Changer votre destin, les clés sont dans vos mains.
Ecouter les sirènes qui conduisent au naufrage
Ou suivre le bon sens de partis plus humain.
Il ne tient qu'à vous seul, de stopper ce carnage.

Zen-fiatlux.blogspot, le 15 février 2014

Elections municipales du 23 et 30 mars 2014


La croissance des sondages, en cette période de crise, fait-elle preuve d'insolence ?. Si ça vous intéresse, vous apprendrez que sur une durée de 3 mois, le constat est surprenant ; surprise ou étonnement ?. Entre ces 6 principaux instituts de sondages, BVA, CSA, Harris Interactive, Ifop, Ipsos, Opinionway, les écarts publiés varient très, très peu ?.

Sondages de Mr Pouic, canard corrèzien,

Après avoir sillonné Notre ville d'Angers, en long et en travers, compte-tenu des neuf listes déclarées actuellement, [pardon pour les 5 autres listes, leur place est prévue dans les prochains jours], Je  vous livre mes premiers ressentis :

Dans l'ordre :

1° Béchu, 2° Béatse, 3° Rotureau, très près, 4° Dirand
Liste «Aimer Angers» PS-PC-EELV, Frédéric Béatse


Liste «L'énergie de faire» dissidents PS-Cap21-Génération Ecologie, EELV, Jean-Luc Rotureau 
Liste «Bleu Marine »


Liste «Angers pour vous »

http://www.angersbechu.fr/ la liste ANGERS pour VOUS 

Ce qui suit, ce ne sont que les postes déficitaires, en frais de fonctionnement et en remboursement d'emprunts, la dette publique va devenir insupportable, dans les prochaines années !.

Brest 29, a, aussi, son Aquavita


Brest a, aussi, sa ligne de Tramway

Brest a, aussi, son réseau de bus Kéolis



Brest a, aussi, son espace aéroport à Guipavas, plus important que Marcé


Si vous y ajouter la deuxième ligne de Tram et les Berges de Maine, le trou financier de la Gare +, les appartements de promoteurs qui vont être refilés à la ville-ALM, plus Thomson, Angers TV, etc..., contrairement à ce que l'on voudrait faire croire aux contribuables angevins, à coup de tours de passe-passe et de com, nos élus ont été très imprudents.



Facebook : alain Février
Tweeter : @fiatlux49 et avant @patchou49 ?