Assemblée Nationale
Le caractère public s'applique aux cultes religieux. N'en déplaisent à de trop nombreux politiciens qui passent une grande partie de leur vie "publique" à cultiver le culte de leur personnalité. En France, les cultes catholique et protestant font partie intégrante des fondements de notre société française. Dans le langage populaire [ les populistes, caricatures officielles ciblées par des journalistes privilégiés et radoteurs ! ] et, dans le petit monde des statistiques, ils en sont restés au stade du début du siècle dernier : Les chrétiens sont les gens qui "vont à la messe" !. D'autres philosophes et spécialistes, en tout genre, protestent contre la forme sociale et les signes extérieurs de richesse du Vatican. Certaines "grosses têtes" justifient leur critique en mettant en évidence la sincérité de l'Evangile ?. Pourfendeur et libre penseur, j'accepte totalement toutes les critiques de "ces gens-là". Par contre, je revendique le sens de ce mot grec " leitourgia" qui désignait les fonctions publiques et bénévoles par lesquelles les citoyens s'acquittaient de leurs devoirs sociaux. Merci d'en tenir compte.
Le Sénat
En ce moment nos Institutions "républicaines", particulièrement l'Assemblée Nationale et le Sénat, elles se sont reconvertis en un vaste théâtre de coups de théâtre. Quel spectacle minable et lamentable offert par nos parlementaires. Sont-ils des inconscients pour ne pas imaginer les conséquences de certaines formules irréfléchies, retransmises en direct, dans les quatre continents ?. Assisterions-nous au retour de la IIIème République, au temps de Jean Jaurès ?.
Chambre des députés le 4 mars 1904 :
Ernest Borgnet, député modéré de la Seine Inférieure qui ne vota pas la loi 1905, s'adressant à Jean Jaurès : " Oui, monsieur Jaurès, vous êtes un tyran jacobin, et même un tyran réactionnaire pour les membres avancés de votre parti ".
Chambre des députés le 19 juin 1906
Georges Clémenceau : Vous n'êtes pas le socialisme à vous tout seul.
Jean Jaurès : Ne jouez pas sur les mots. Il y a ici un parti socialiste.
Georges Clémenceau : Il y a des socialistes en dehors de ce parti. Vous n'êtes pas le bon Dieu.
Jean Jaurès : Vous, monsieur le ministre, vous n'êtes même pas le diable.
Georges Clémenceau : Vous n'en savez rien.
Ces échanges sont très soft sur Jean Jaurès après avoir lu " La Comédie socialiste ", 1897 d'Yves Guyot ; d'Henri Rochefort, "L'intransigeant du 3 janvier 1899, le bouquet final revenant au Figaro du 19 octobre 1901, Charles Maurras : "De tous les caractères du génie féminin, je n'en vois pas un seul qui fasse défaut à monsieur Jean Jaurès. On l'a vu assez versatile, on l'a vu assez entêté pour rappeler successivement les aspects divers de l'Eve éternelle,[...] Mademoiselle Jean Jaurès était une fille très mûre quand elle changea de parti. Elle avait, à défaut de raison, de,[...]
Rassemblements Citoyens contre le projet de loi : " Mariage et adoption pour tous " samedi 2 février 2013 de 15 à 17 heures, place du Ralliement à ANGERS
Ne laissons pas une poignée de politiciens décidés à notre place de l'avenir de la famille française. Nos enfants ont droit à la considération de leur maman et de leur papa.
Agissez avant qu'il ne soit trop tard, les bretons " du cru " disent : " Arabat klask vioù e neizhioù warlene ". Il est inutile de chercher des oeufs dans les nids de l'an dernier."
http://zen49.blogspot.fr/2013/01/a-vaincre-sans-peril-on-triomphe-sans.html
Ce qui me rassure encore, c'est la lucidité et la vision de la France constatée dans cette vidéo :
le lien :
http://youtu.be/NpDi27DrCVk
Courriel : fevrieralain@hotmail.fr
http://zen-fiatlux.blogspot.com
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