lundi 28 novembre 2011

A celles et à ceux qui pensent que l'assurance-vie est un placement sûr, ils se trompent et on abuse de leur confiance... !

Le Malaise de l'ASSURANCE-VIE

" Pour le deuxième mois consécutif, les ménages ont retiré plus d'argent qu'ils n'en ont déposé sur les contrats. Les Français boudent les produits d'épargne qu'ils préfèraient. Après le Livret A en début de semaine, c'est à l'assurance-vie de dresser un bilan morose pour le mois d'octobre. La Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA) a publié dimanche les chiffres de la collecte. Le mois dernier elle a chuté de 16% à 9,1 milliards d'euros. Le montant des cotisations collectées sur les 10 premiers mois de l'année 2011 s'élève à 107 milliards d'euros, en baisse de 12 % par rapport à la même période de l'année...."

http://www.boursorama.com/actualites/l-assurance-vie-perd-du-terrain aa4ad93308a083169ecf117c75260a46

Quand vous aurez lu ce qui suit, aurez-vous toujours la même confiance dans ces contrats d'assurance-vie en unités de compte, dans ces contrats d'assurance-vie dit « béton » ?. C'est parfois un comble de ne pouvoir obtenir la nouvelle adresse de la compagnie d'assurance-vie d'une Banque Populaire en Aquitaine !..

Primes versées au titre de l'article 757B du CGI : 12.300, 00 €uros
Montant du capital décès : 3.489,32 €uros
Contrat souscrit : .. mars 2002
Décès du souscripteur : janvier 2006

Même le client mort, le secret bancaire perdurerait pour le banquier ?. Il serait maintenu ad vitam aeternam, « pour la vie éternelle » !.

Le banquier aurait dit à l'époque, au feu souscripteur du contrat d'assurance-vie, que son placement était en « béton ». Feu souscripteur l'avait même écrit au bénéficiaire. Le béton devait être de mauvaise qualité cette année-là !. Une « perte » du capital de l'assurance-vie béton de plus de 70 %, en à peine 4 ans, ça vous passe l'envie de souscrire à une prochaine assurance-vie « bidon, pas pour tout le monde !.». Zola aurait dit « J'Accuse ...»

Après de nombreuses démarches auprès d'avocats, du notaire et, en dernier ressort auprès de l'agence bancaire, enfin une réponse !. Feu souscripteur de cette assurance-vie, grabataire et hospitalisé à la fin de ses jours, il aurait fait des retraits ?. L' insistance auprès de la banque, du notaire et des avocats, simplement pour avoir, au moins des justificatifs de ces retraits, la réponse du notaire : « la banque refuse de fournir les relevés des retraits...! ». La réponse des avocats : « la banque est libre de faire ce qu'elle veut » !. Point barre.

Courriel : fevrieralain@hotmail.fr 

1 commentaire:

un peu de clarté a dit…

Dans les banques-assurances, le procédé du crédit-scoring devrait être pris en compte par le souscripteur d'une assurance-vie et non par la banque. Le client évaluerait les anachronismes de ces grandes banques qui ne se sont que les intermédiaires des compagnies d'assurances.

L'appréciation objective du risque de voir ses versements sur son ou ses contrats d'assurance-vie s'envoler vers des destinations imprévues initialement, elle serait en partie garantie par la compagnie d'assurances et non par le banquier.

Il faut une législation beaucoup plus répressive envers ces banquiers qui se prennent pour des assureurs. Cela évitera la suspicion dans la gestion de tous ces contrats d'assurance-vie.

Un peu de clarté