Entre euro-obligations, euro-bonds, project bonds, au bout du bout, ils prendront l'appellation d'euro-faillite, les esprits tordus de la Commission européenne cherchent un nom d'emprunts, tout ça pour camoufler les monstrueuses dettes des 17 pays de la zone euro.
L'analyse, sur le refinancement des banques françaises, publiée ce matin par l'agence de notation Moody's Investors Service et, les propos tenus par le président de la FBF sur le même sujet, seraient-ils de nature à préparer l'opinion des français à subir une récession sans précédent ?. Le spectre d'un enchérissement des taux d'intérêts, d'une forte inflation, d'une débâcle financière, de faillites d'entreprise, de crise immobilière,..., il ne serait plus à notre porte, mais bien présent ?.
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=4c6f354e1ebb7c9d49d04fda086c9859
Pour évacuer les mauvaises nouvelles de Moody's et, repartir du bon pied pour cette nouvelle rentrée scolaire, les nostalgiques des 30 glorieuses et toutes celles et tous ceux qui sont nés après 1970, écouter donc les Moody Blues, je suis certain que " Nights In White Satin " vous changera les idées :
http://www.dailymotion.com/video/x44x4u_the-moody-blues-nights-in-white-sat_music
Albums : The Very Best Of The Moody Blues
Nights In White Satin (Nuits De Satin Blanc) 1970
Nights in white satin, Nuits de satin blanc,
Never reaching the end, N'arrivant jamais à leur terme
Letters I've written, Lettres que j'ai écrites,
Never meaning to send. Sans jamais avoir l'intention de les envoyer
[...]
Gazing at people, Observant les gens
Some hand in hand, Certains marchent main dans la main
Just what I'm going thru Les épreuves que j'endure
They can't understand. Ils sont simplement incapables de les comprendre
Some try to tell me Certains essaient de me faire part
Thoughts they cannot defend, De leurs réflexions qu'ils ne peuvent argumenter
Just what you want to be Exactement ce que tu veux être,
You will be in the end, Tu finiras par le devenir,
[...]
Ce sont principalement depuis ces 10 dernières années que les politiques libérales, menées par les gouvernements Raffarin, de Villepin et Fillon, n'ont fait que précipiter la France dans le chaos. Il faut préciser que depuis ces 4 dernières années, la politique ultra-libérale incontrôlée, décidée par le Président Sarkozy et, mise en application par les gouvernements Fillon, elle n'a fait qu'aggraver sérieusement la situation financière, économique et sociale de la France !. Maintenant, que l'on vienne pas nous dire que l'euro n'est pas responsable, lui aussi, de notre déclin financier, économique, social !. 10 ans auront suffit à mettre les 17 pays de la zone euro dans une position de mendicité financière et de dépendance totale des volontés des marchés financiers et des spéculateurs internationaux.
Comment voulez-vous que ces gens du pouvoir, pour une très grande majorité, ils sont des carriéristes en politique, ils puissent redresser une France qu'ils ont, eux-mêmes, décidé de ruiner ?.
Sources INSEE :
(Les graphiques 1 à 4 permettent de visualiser ces évolutions générales ainsi que la forte rupture de pente de la hausse des salaires nets avant et après le choc pétrolier de 1974.)
L’augmentation relative des salaires des ouvriers et des employés s’est produite après 1968 jusqu’au début des années 1980. Depuis le milieu des années 1990, le mouvement a tendance à s’inverser avec une baisse du niveau relatif du salaire net des employés et plus encore des professions intermédiaires. Celles-ci auraient perdu presque 10 points de salaire relativement aux cadres supérieurs entre 1994 et 2004. Au cours des toutes dernières années, le salaire des employés serait aussi en forte baisse relative.
Ces évolutions suggèrent une croissance des inégalités au cours de la période la plus récente. Celle-ci est toutefois hétérogène, puisque les ouvriers seraient épargnés. Mais cette conclusion doit être tempérée par le fait que de nombreux changements structurels affectent les évolutions moyennes par catégories sociales.
Ce sont bien nos dirigeants politiques actuels qui ont mis les peuples des 17 pays de la zone euro dans une inextricable situation financière, économique et sociale. Aujourd'hui, ces mêmes politiques, ils veulent faire croire qu'ils vont sauver ces populations ?. Leur politique de sauvetage est simple , elle ne touchera pas à leur porte-monnaie mais, elle pesera lourdement sur les citoyens à travers des réductions d'effectifs et des baisses sur les dépenses budgétaires, sur les dépenses sociales, sur les services publics, sur les salaires et sur les retraites ?. Et la mise en place d'une TVA « sociale » finira de tuer la croissance.
La forte croissance des dettes souveraines des Etats de la zone euro nous ruinent, quittons le navire €, avant qu'il ne sombre corps et biens. Y en a une qui l'a bien compris, c'est notre ministre de l'économie et des finances, Christine Lagarde, qui s'est exilée au FMI à Washington. La Grèce, l'Irlande, l'Espagne, l'Italie, la France, le Portugal, tous des pays de la zone euro, ils subissent déjà ou ils sont en voie d'affronter une montée fulgurante de la pauvreté, du chômage, et une chute du pouvoir d’achat de leurs concitoyens. En grèce, en Irlande, en Espagne...,les retraites sont en baisse, comme les salaires et les traitements des fonctionnaires. Le SMIC vient de baisser de 11 % en Irlande, pays qui avait voté "non" mais, converti au "oui "par Sarko, Le peuple irlandais crie haut et fort qu'il ne remboursa pas les prêts de la BCE.
Comme l'a dit Nicolas Dupont-Aignan (DLR) avec dautres : "Vite sortir de l'euro et reprendre notre indépendance monnétaire." On pourra dévaluer notre franc de 15 à 20 % et faire marcher la planche à billet. Les quelques points d'inflation permettront un gain de pouvoir d'achat pour tous et un remboursement en douceur de la dette. Comme les miracles n'existent pas en économie, l'inflation est un moteur pour redynamiser nos outils de production et nos exportations. Pour me faire comprendre , il suffit de se rendre compte que la reconstruction de l'industrie française d'après guerre, elle aurait été impossible sans l'inflation et, si on regarde plus près de nous, dans les années 1965-1980, l'inflation frisait parfois les 20%, elle a permis à nombre de petits salariés de rembourser les prêts de leur maison, presque sans s'en rendre compte ?.
Qui a dit : «Il faut éviter ce saccage social, et choisir la voie du pragmatisme, dessinée par nombre d’économistes soucieux du bien public. Cette voie, c’est celle de la sortie de l’euro et de la souveraineté monétaire, parce qu’il est toujours préférable d’anticiper plutôt que de subir ». C'est Marine Le Pen, et, c'est bien ça qui dérange !. Difficile de regarder la réalité en face, quand on est bien installé politiquement dans la Nomenklatura française et européenne. Peu importe si le peuple français souffre, nos politiciens conservent leur privilèges au prix fort, qu'ils feront payer à leurs concitoyens.
A partir de 2005 :
zen-fiatlux dans Google
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ça s'aggrave encore davantage. Souvenez-vous du vote de 2005, 55 % des électeurs avaient dit "non" au traité de Lisbonne ?. Qu'importe, au mépris du résultat du suffrage universel, l'équipe Fillon-Sarko et, les parlementaires UMP-Centriste-PRG + Jack Lang ont voté "oui ", ( à une voix près, le vote ne passait pas). Si le vote de leurs concitoyens avait été respecté, aujourd'hui, on ne serait dans la merde où nous sommes !
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