photo de l'ancienne mairie d'Angers
Hier lundi, en prélude au Conseil Municipal d'ANGERS, tous les membres du Conseil Municipal se sont retrouvés sur le parvis de la mairie pour rendre un hommage aux deux journalistes Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, toujours otages des rebelles Afghans et ce, depuis 300 jours !.
A l'ouverture de la séance du Conseil, peu après 18 H, Monsieur le maire, Jean Claude Antonini a félicité la maîtrise des syndicats territoriaux et a pris acte de la solidarité collective du personnel contre la réforme des retraites. Monsieur le Maire a dénoncé le comportement d'un gouvernement agissant avec une violence insupportable. Il a rassuré les angevins sur la fin de conflit des éboueurs. Un accord ayant été trouvé dimanche après négociation avec les syndicats. (Une leçon de démocratie qui n'existe pas en sarkozie !)
Mr Gérault s'est associé partiellement à ces remerciements «..Tout comme vous ( M. le Maire), vous soulignez que les syndicats de l'Agglo ont su prendre leur responsabilité, pour le reste, un débat de fond serait nécessaire, je ne souhaite pas rentrer dans ce débat...».
Dans un contexte de désengagement massif de l'ETAT, Frédéric BEATSE, maire adjoint, il a déroulé un volumineux rapport sur les indicateurs économiques et sociaux de la ville d'ANGERS. Il n'a pas manqué de saluer tous les services qui ont participé à affiner les résultats.Il a été dit que la dotation de solidarité était en baisse de 12 %. Selon M. BEATSE, si l'on reprend les chiffres clés, ANGERS serait revenu à la situation de 2005 avec un accroissement des ménages sous le seuil de pauvreté. Le CCAS reçoit de plus en plus de population qui ne peuvent plus faire face à leurs dépenses !. A quelques exceptions près, l'ensemble des conseillers municipaux partagent ce même constat : Pauvreté-Précarité en hausse.Seul bémol à apporté à l'affirmation d'un élu de la majorité quand il dit que les loyers sont deux fois inférieurs à ceux du privé !.A moins qu'il a peut-être fait une confusion avec les charges locatives, qui elles flambent ?.
Conclusion de Jean Claude ANTONINI : « un bon rapport dans tous les angles de la pauvreté...»
HEU-REUX le nouveau Traminot, maire d'Angers
Je sais bien que l'on ne devrait pas se moquer de la misère : « misère, misère quand tu nous tiens...» chantait COLUCHE. Parti, lui aussi, vers l'au-delà en laissant la croissance à cette misère, une suggestion, sous forme de boutade, a envahi mon esprit.
A quand la création d'une ONG qui serait chargé de venir en aide à notre jeunesse angevine pauvre, à nos anciens sous le seuil de pauvreté.... ?. Cette ONG pourrait « confier à un cabinet extérieur une mission de conseil pour les aider à adapter le système organisationnel de l'association à ce défi de l'autonomisation, grâce à l'appui financier du FRIO ». « 3 questions à ... : témoignages d’ONG cofinancées par le Frio » «...» mots empruntés à « 3 questions à Vincent Dulong, directeur de Bolivia Inti-Sud Soleil.
Entre nous, le texte entre les guillemets «...», c'est resté pas clair dans ma tête... C'est peut-être pour cela que French Doctor a troublé mon sommeil...?.
Peut-on rire de tout ?. Sans aucune rancune envers qui que ce soit.
zen-fiatlux ?.
Courriel : fevrieralain@hotmail.fr
5 commentaires:
Retraités, futurs retraités, faites comme Eric Woerth, les élus UMP, NC.... offrez-vous un micro-parti qui vous permettra de mettre de l'argent de côté et vous aidera à vivre. Pourquoi ce serait toujours ceux qui décident pour vous qui auraient droit à leur niche fiscale et, le droit de gruger le fisc en toute légalité ?.
Sur 7s7 Monde-Retraites « "Il ne sert à rien de faire grève" déclare Woerth »
« Eric Woerth a fait une petite sortié médiatique qui ne va certainement pas réconcilier les manifestants avec le pouvoir en place. "Après le vote de la loi, c'est la loi (...), il faut la respecter", a déclaré le ministre du Travail dimanche soir sur France 3, soulignant que "il ne servait à rien de faire grève aujourd'hui".
Le texte sur la réforme des retraites devrait être définitivement adopté par le Parlement mercredi, alors que le Sénat a marqué son accord la semaine dernière. Eric Woerth a aussi déclaré qu'à un moment donné, il faut cesser le blocage du pays" car si "le pays n'est pas totalement bloqué", "le conflit sur l'essence handicape beaucoup de nos compatriotes".
"A un moment donné, il faut cesser le blocage du pays. Bloquer aujourd'hui une raffinerie, ça n'a pas de sens particulier, ni pour les conditions de travail dans la raffinerie ni pour ce qu'on veut dire", a encore affirmé le ministre du Travail. (7sur7) »
Docteur NET, tu me donnes du Tamiflu ou du vaccin H1, j'ai le syndrôme de l'imposteur comme le chef ?.
exomil
Loi votée par les sénateurs UMP, NC..., ça sent les fonds de pension en 2013 ou avant, Guillaume affute ses projets et il se frotte les mains.
I
Sources sénat
« Titre V ter
Mesures relatives à l’épargne retraite
Article 32 bis C (nouveau)
L’épargne retraite, qui vise à compléter les pensions dues au titre des régimes de retraite par répartition légalement obligatoires, permet de disposer, à partir d’un âge déterminé, de revenus provenant d’une épargne constituée individuellement ou collectivement pour faire face à des besoins viagers, à partir de versements sur une base volontaire ou obligatoire réalisés à titre privé ou lors de l’activité professionnelle.
Article 32 bis
L'article L. 3334-8 du code du travail est complété par les mots et trois alinéas ainsi rédigés : « ou contribuer au financement de prestations de retraite qui revêtent un caractère collectif et obligatoire déterminé dans le cadre d'une des procédures mentionnées à l'article L. 911-1 du code de la sécurité sociale.
« En l’absence de compte épargne-temps dans l’entreprise, le salarié peut, dans la limite de cinq jours par an, verser les sommes correspondant à des jours de repos non pris sur le plan d’épargne pour la retraite collectif ou faire contribuer ces sommes au financement de prestations de retraite qui revêtent un caractère collectif et obligatoire déterminé dans le cadre d'une des procédures mentionnées à l'article L. 911-1 du code de la sécurité sociale. Le congé annuel ne peut être affecté à l’un de ces dispositifs que pour sa durée excédant vingt-quatre jours ouvrables.
« Les sommes ainsi épargnées bénéficient de l’exonération prévue à l’article L. 242-4-3 du même code ou aux articles L. 741-4 et L. 741-15 du code rural et de la pêche maritime en tant qu’ils visent l’article L. 242-4-3 du code de la sécurité sociale.
« Elles bénéficient également, selon le cas, des régimes prévus aux 2° ou 2° 0 bis de l'article 83 du code général des impôts ou de l'exonération prévue au b du 18° de l'article 81 du même code. »
Article 32 ter A
(Supprimé)
Article 32 ter B
L'article L. 3334-11 du code du travail est complété par un alinéa ainsi rédigé :
« Il leur est également proposé une allocation de l'épargne permettant de réduire progressivement les risques financiers dans des conditions fixées par décret. »
Article 32 ter
I. – L’article L.3323-2 du même code est ainsi modifié :
1° (Supprimé) ;
2° Le dernier alinéa est ainsi rédigé :
« Tout accord de participation existant à la date de promulgation de la loi n° du portant réforme des retraites doit être mis en conformité avec le présent article et l’article L. 3323-3 au plus tard le 1er janvier 2013. »
II et III. – (Supprimés)
IV. – Le premier alinéa de l’article L. 3324-12 du même code est remplacé par deux alinéas ainsi rédigés :
« Lorsque le salarié, et le cas échéant le bénéficiaire visé au deuxième alinéa de l’article L. 3323-6 et au troisième alinéa de l’article L. 3324 2, ne demande pas le versement en tout ou partie des sommes qui lui sont attribuées au titre de la participation dans les conditions prévues à l’article
L.3324-10 ou qu’il ne décide pas L. 3323-2, sa quote-part de réserve spéciale de participation, dans la limite de celle calculée à l’article L. 3324-1, est affectée, pour moitié, dans un plan d’épargne pour la retraite collectif lorsqu’il a été mis en place dans l’entreprise et, pour moitié, dans les conditions prévues par l’accord mentionné à l’article L. 3323-1. Les modalités d’information du salarié sur cette affectation sont déterminées par décret.
à suivre
II suite site Sénat
« Les modalités d’affectation de la part des sommes versées aux salariés au titre de la participation aux résultats de l’entreprise supérieure à celle calculée selon les modalités de l’article L. 3324-1 peuvent être fixées par l’accord de participation. »
Article 32 quater
(Supprimé)
Article 32 quinquies
I. – Un régime de retraite supplémentaire à prestations définies répondant aux caractéristiques des régimes mentionnés au premier alinéa d I de l’article L. 137-11 du code de la sécurité sociale réservé par l’employeur à une ou certaines catégories de ses salariés ou aux personnes visées au deuxième alinéa de l’article L. 3323-6 et au troisième alinéa de l’article L. 3324-2 du code du travail ne peut être mis en place dans une entreprise que si l’ensemble des salariés bénéficie d’au moins un des dispositifs suivants :
1° Plan d’épargne pour la retraite collectif prévu au chapitre IV du titre III du livre III de la troisième partie du code du travail ;
2° Régime de retraite supplémentaire auquel l'affiliation est obligatoire et mis en place dans les conditions prévues à l'article L. 911-1 du code de la sécurité sociale.
3° (Supprimé)
II. – Lorsqu’un régime de retraite supplémentaire mentionné au premier alinéa du I existe dans l’entreprise à la date de promulgation de la présente loi, cette entreprise est tenue de mettre en place, au plus tard le 31 décembre 2012, pour l’ensemble de ses salariés, l’un des dispositifs prévus par les 1° et 2° du même I, sauf si le régime n’accueille plus de nouvelles personnes adhérentes à compter de sa date de fermeture lorsque celle-ci est antérieure à la promulgation de la loi n° du portant réforme des retraites.
Article 32 sexies
Après le onzième alinéa de l’article L. 132-22 du code des assurances, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Pour les contrats liés à la cessation d’activité professionnelle, l’entreprise d’assurance ou de capitalisation fournit, dans cette communication, une estimation du montant de la rente viagère qui serait versée à l’assuré à partir de ses droits personnels. Elle précise, le cas échéant, les conditions dans lesquelles l’assuré peut demander le transfert de son contrat auprès d’une autre entreprise d’assurance, d’une mutuelle ou d’une institution de prévoyance. Un arrêté précise les conditions d'application du présent alinéa. »
Article 32 septies
(Conforme)
Article 32 octies A (nouveau)
Après le cinquième alinéa de l'article L. 132-23 du même code, sont insérés deux alinéas ainsi rédigés :
« décès du conjoint ou du partenaire lié par un pacte civil de solidarité ;
« - situation de surendettement de l'adhérent définie à l'article L. 330-1 du code de la consommation. »
Article 32 octies B (nouveau)
Après la première phrase du deuxième alinéa de l'article L. 132-23 du même code, il est inséré une phrase ainsi rédigée :
« Les contrats qui relèvent du régime de retraite complémentaire institué par la Caisse nationale de prévoyance de la fonction publique peuvent prévoir, à la date de cessation d'activité professionnelle, une possibilité de rachat dans la limite de 20 % de la valeur des droits individuels résultant de ces contrats. »
III suite sénat
" Article 32 octies
Le b du 1 du I de l’article 163 quatervicies du code général des impôts est ainsi rédigé :
« b ) à titre individuel et facultatif aux contrats souscrits dans le cadre de régimes de retraite supplémentaire, auxquels l’affiliation est obligatoire et mis en place dans les conditions prévues à l’article L. 91 - 1 du code de la sécurité sociale, lorsque ces contrats sont souscrits par un employeur ou un groupement d’employeurs ; ».
Article 32 nonies (nouveau)
La seconde phrase du dernier alinéa de l'article L. 144-1 du code des assurances est complétée par les mots : « et peut être entièrement cumulé avec une activité professionnelle, dans les conditions prévues à l'article L. 161-22 du code de la sécurité sociale ».
TITRE VI
DISPOSITIONS FINALES
Article 33
....................
Délibéré en séance publique, à Paris, le 22 octobre 2010.
Le Président,
Signé : Gérard LARCHER
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