samedi 30 juillet 2016

Souvenez-vous des mots du candidat François Hollande : « Mon ennemi, c'est la Finance » !.

José Manuel Barroso président de la Commission Européenne du 10 février 2010 au 31 octobre 2014, maintenant, il travaille à Londres pour la sulfureuse Banque américaine Goldman Sachs !.

Souvenez-vous des mots du candidat François Hollande : « Mon ennemi, c'est la Finance »

Voilà un Rothschildien, jeune génie de la finance,
Est issu d'un cercle de pouvoir très influent,
C'est le règne absolu des empires financiers.
Les Lazard et Rothschild, ils se sont invités
Dans tous les ministères liés à l'économie.
Une ironie du sort, une supercherie ?,
Cette nomination agace les socialistes ;
* Nationalise Rothschild, c'est être opportuniste.
les Pérol et Macron sont les pions des banquiers,
Hollande et Sarkozy sont dans le même panier.
* 1982
Alain Février, samedi 30 juillet 2016


Extraits :
« La banque du Président »

«..Lorsqu’il arrive chez Rothschild, Emmanuel Macron est déjà bien introduit. Il fréquente Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Elysée qui ce mardi a annoncé avec un sourire sa nomination au ministère, ou encore Jacques Attali (grâce à la commission du même nom). Mais François Henrot tient à préciser qu’il n’a pas recruté un « carnet d’adresses ». Si Emmanuel Macron connaît aujourd’hui les principaux patrons français, il a dû s’appuyer à l’époque sur la réputation de la banque pour s’ouvrir des portes.
La citation qui tue
Avant d'être nommé ministre, Emmanuel Macron a eu de jolies phrases :
    « Aujourd’hui, je ne suis pas prêt à faire les concessions qu’imposent les partis, c’est-à-dire à m’excuser d’être un jeune mâle blanc diplômé, à m’excuser d’avoir passé des concours de la République qui sont ouverts à tout le monde. » (Rue Saint Guillaume, avril 2010)
    « [Il faudrait] sortir de ce piège où l'accumulation des droits donnés aux travailleurs se transforme en autant de handicaps pour ceux qui ne travaillent pas. » (Le Point, août 2014)
Avant Emmanuel Macron, c’est François Pérol qui incarnera ces accointances politiques en devenant secrétaire général adjoint de l’Elysée, après avoir travaillé chez Rothschild.
L’entregent de Rothschild est démultiplié au point que le Nouvel observateur titrera « La banque du Président ».

On pourrait aussi citer Sébastien Proto (de la même promo de l’Ena que Macron), qui a été directeur de cabinet d’Eric Woerth, Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Edouard Balladur, ou Grégoire Chertok, proche de Jean-François Copé. Nicolas Sarkozy gravitera aussi un temps dans le giron de la banque.


A chaque changement de gouvernement, Rothschild réussit donc à placer quelques collaborateurs dans les petits papiers du pouvoir. On appelle cela "se mettre au service" Macron est un ancien, mais il perpétue la tradition. Et il a laissé de tellement bons souvenirs que les banquiers ne sont pas près de l’oublier.»

Ouest-France
samedi et dimanche 5 et 6 mars 2016

Dans cette stratosphère gravitent tonnes de fer,
Des centaines de milliers d'avions et de fusées,
Quincaillerie qui virevolte au-dessus de nos têtes.
Conférences planétaires sont priées de se taire,
Le monde civilisé détruit sa société,
Armement, Nucléaire participent à cette fête.

*François Régis Hutin, un pilier de Ouest-France,
Dans son éditorial « ...sursaut européen »,
Il pense, écrit l'Europe en oubliant La France.
« Délire nationaliste », ridicule populiste,
Il a tort ou raison, là n'est pas mon propos.
Comment peut-il défendre cette Europe égoïste
Qui gère la zone euro et la mène au chaos ?.

Honneur, Gloire et Beauté, appartiennent au passé
Ouest-France rejoint la gent de la pensée unique.
Eurocrates, politiques sont-ils terrorisés,
Par cette société qu'ils ne peuvent maîtriser ?.
Alain Février, lundi 7 mars 2016


Certains médias Français ont-ils tous perdu pied ?. http://zen-fiatlux.blogspot.fr/2016/07/filtrer-linformation-sinfliger.html

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