vendredi 17 juin 2016

MM les élus, Ministres, Parlementaires, Sénateurs : Problème fondamental, changer sa manière d'être ...

Réformer le Sénat, ce haut lieu du bien-être,
Problème fondamental, changer sa manière d'être,
Pour tous les sénateurs qui vivent très heureux
Avant de succomber aux abîmes pernicieux.


Un tiers de leur revenu est soumis à l'impôt,
Privilège insultant pour tous les contribuables.
L'Assemblée Nationale, elle seule, a droit de veto.
Palais du Luxembourg, un théâtre de fables,
Qui joue la surenchère sans voter une seule loi !.
Connivence des partis, sénateurs sont complices.
C'est une İnstitution qui vote ses propres lois.
Leurs avantages sociaux, une inique injustice
Pour tous les citoyens qui sont super taxés.
İls ne comprennent plus ces nantis de la Nation.


Faudrait pas oublier que ces privilégiés,
S'attribuent une enveloppe d'euros non déclarés.
Son montant est variable pour chacun des nantis,
Soit cinq cent milles euros pour la haute hiérarchie.
Comble de l'infamie, c'est leur désignation.
Une partie des élus votent leur nomination.
Le peuple est ignoré, n'a pas droit au chapitre.
Maintenant le changement, récusons tous ces pitres.

Alain Février, vendredi 17 juin 2016

Jardins du Sénat

« Robert Colonna d'Istria et Yvan Stefanovitch ont mené une enquête pointilleuse qui révèle les petits et grands secrets de l'institution Sénat. Ils racontent, avec beaucoup de brio, les splendeurs et les misères de notre Chambre haute . Et recensent les quinze réformes évidentes à mettre facilement en œuvre pour que les sénateurs ne soient plus des super privilégiés.»
« A quoi sert le Sénat, institution deux fois centenaire qui nous coûte chaque année plus de 300 millions d'euros? D'abord à financer les privilèges (plus de 4 000 euros mensuels de retraite pour 15 ans de cotisation) et les rémunérations royales (11 540 euros net par mois) des derniers princes de la République, nos 331 sénateurs. Et aussi à entretenir les 1 260 fonctionnaires les mieux rémunérés de l'Hexagone (de 2 300 à 20 000 euros net mensuels), qui font la semaine de 32 heures et ont presque 4 mois de vacances. Luxe, calme et volupté... Et, dans l'esprit de beaucoup, de Jospin à Sarkozy, ces super-privilèges n'ont pas la moindre justification, car, selon eux, cette deuxième Chambre ne sert à rien. La réalité est édifiante: un petit tiers des sénateurs travaille, un gros tiers vient de temps en temps à Paris et les autres appartiennent à la famille des rois fainéants. Un royaume hors du monde et du temps ? Pas tout à fait. Car nos sénateurs, qu'ils soient de droite ou de gauche, sont assidûment courtisés par des lobbies de tout poil. Des marchands d'armes aux semenciers, chacun connaît la capacité de ces édiles à peser sur la diplomatie française ou à modifier un texte de loi. Cela justifie bien des voyages d'études, tous frais payés, quelquefois au bord d'un lagon lointain... D'autres ténors politiques, en revanche, continuent à considérer la Chambre haute comme un précieux garde-fou contre les dérives des gouvernements et l'obéissance servile de l'Assemblée nationale. Robert Colonna d'Istria et Yvan Stefanovitch ont mené une enquête pointilleuse qui révèle les petits et grands secrets de l'institution Sénat. Ils racontent, avec beaucoup de brio, les splendeurs et les misères de notre Chambre haute . Et recensent les quinze réformes évidentes à mettre facilement en œuvre pour que les sénateurs ne soient plus des super privilégiés. »

Robert Colonna d'Istria et Yvan Stefanovitch

Des casseurs cagoulés ne sont pas inquiétés,
L'État manque de moyens pour les identifiés.

Aucun commentaire: