La FRANCE a son histoire, qu'on voudrait lui voler.
Journalistes, politiques, ils l'oublient trop souvent.
« La grandeur de la France ». Une France délaissée,
Au profit d'une Europe ouverte aux quatre vents
Soixante mille postes de plus pour des syndicalistes
Qui en veulent toujours plus. Ils sont en assuétude,
Ils se voilent la face, comme l'étaient les trotskistes.
Idéologues marxistes, pétris de certitude,
Combien de permanents qui travaillent vraiment ?
On entend bien souvent le chiffre de vingt milles
Difficile à connaître, la cause des cloisonnements
Dans l'enseignement public, estimation fragile !.
Posez vous cette question, pourquoi le niveau baisse,
Dans la compréhension chez nos jeunes enfants ?.
Infime minorité profite d'Erasmus,
Les enfant d'immigrés, ça dépend où ils naissent,
De retour de l'école, la langue de leurs parents
Est très souvent parlée, on peut en être ému.
Ces bobos socialistes et certains umpistes,
Ils n'ont aucune pudeur à «massacrer» leur peuple,
Les petits retraités, eux, ils ont travaillé,
Les forçats de la route, eux, ils sont exploités.
Ces gens se sont privés en vrais économistes,
Pour payer leur maison, leur appart en immeuble.
Et voilà leurs ministres et leurs parlementaires
Qui, d'un coup de crayon, rayent trente ans d'efforts.
Cette caste politique tape sur les prolétaires
Qui, un jour, rejoindront la charette des remords.
Tous ces subventionnés et tous ces assistés,
N'ont qu'un mot à la bouche, le nom Marine Le Pen.
C'est donc cette «tête de turc» qui dérange ces planqués,
Tous ces privilégiés protègent leur mât de misaine.
Point de vue de Ouest-France, «La grandeur de l'Europe»
Professeur émérite, il aurait enterré
«La grandeur de la France». Quel esprit misanthrope,
agitateur de peur, «repli identitaire»,
Cet universitaire, il est discrédité.
Ses références choisies, manque de patriotisme,
L'amalgame est facile, sa peur du populisme.
Souviens toi de 14, on fête l'anniversaire.
Zen-fiatlux.blogspot.com, le 23 avril 2014
Le jour où nos élites et autres eurocrates argumenteront très clairement sur le devenir de la FRANCE et des Français, là on pourra revoir notre jugement de valeur. Dans l'état actuel des choses, il faut être, vraiment, de mauvaise foi, pour voter pour cette Europe de la torture morale et financière, des moins-disants et de la concurrence déloyale entre pays de la zone euro, de la libre circulation sans aucun contrôle et du pillage, sans cesse grandissant, de nos biens, etc...
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