mardi 4 juin 2013

Lettre ouverte au Premier ministre, suite à la banalisation du mot mariage, à la théorie du genre à l'école et dans les prétoires !.


Photo : A2 des paroles et des actes
Monsieur le Premier Ministre,

Il y a quelques jours, Le Président de la République a commémoré le 70ème anniversaire du Conseil national de la résistance. Avec le général de Gaulle, c'est le point de départ de la création de notre régime de protection sociale que nous envie le monde entier. La menace de sa pérennité est bien réelle, c'est à ce titre que je me permets de vous interpeller.
Les dernières décisions prises par les parlementaires sur la famille française et sur le devenir des enfants ont de quoi inquiéter toute la société française. La banalisation du mariage pour tous, pleine de sous-entendus, la théorie du genre qui serait enseignée dès l'âge de six ans et, hier lundi 3 juin, les magistrats ont été convoqués à Paris pour assister à un stage de formation sur « les discriminations commises en raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre ».
Monsieur le Premier ministre, pourquoi faites-vous de la famille française, votre principale priorité ?. Comme des millions de français qui souffrent, qui sont en désespérance, qui ne comprennent pas que votre gouvernement  s'attaque frontalement à la famille et aux générations futures, je m'interroge sur les tenants et les aboutissants de ces déconstructions de la société française.
Pourtant, les problèmes ne manquent pas, chômage, pauvreté, soins médicaux, misère morale et sociale, etc... !. Monsieur le Premier ministre, vous êtes à la tête d'un gouvernement qui passe son temps à opposer les français et les communautés nationales. Il méprise la cohésion sociale et préfère cibler des réformes dérisoires.  
Monsieur le Premier Ministre, vos ministres donnent l'impression à l'opinion publique qu'ils sont dans leur ministère, enfermés dans leur tour d'ivoire,  impuissants devant cette immense régression sociale qui se profile à l'horizon.
Que font-ils donc tous nos parlementaires français et européens, nos hauts fonctionnaires  et autres conseillers en tout genre pour en arriver à un tel résultat catastrophique ?. Aucune perspective d'un avenir meilleur et, plus grave encore, la France a perdu son indépendance monétaire et sa liberté de légiférer. La France doit se conformer  aux avis des autorités Bruxelloises et de la Cour de justice. Avec de tels boulets aux pieds, comment pouvez-vous aspirer à des jours meilleurs pour les français ?.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Premier Ministre, l'expression de ma très haute considération.
Alain Février
Le Palais Bourbon
14ème législature Question N° :13751 de De Mme Sandrine Mazetier ( Socialiste, républicain et citoyen – Paris ) Question écrite : « Ministère de l'Education »
« Mme Sandrine Mazetier attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale sur l'appellation « école maternelle ». Cette dénomination institutionnelle, qui figure dans le code de l'éducation, laisse entendre que l'univers de la petite enfance serait l'apanage des femmes et véhicule l'idée d'une école dont la fonction serait limitée à une garderie. À l'heure où se prépare une loi de programmation et d'orientation pour la refondation de l'école, et où le Gouvernement s'engage fortement en faveur de l'égalité entre les femmes et les hommes et la lutte contre les stéréotypes, remplacer ce nom genré par un nom neutre redonnerait symboliquement aux pères la place qui leur revient dans l'éducation de leur enfant, et repositionnerait l'école dans son rôle éducatif différent de celui des parents. « L'école maternelle » pourrait être rebaptisée « première école », ou encore « école élémentaire » si l'école couramment appelée primaire destinée aux 6-11 ans prenait officiellement le nom « d'école primaire ». Elle lui demande de bien vouloir l'informer des mesures envisagées par le Gouvernement pour redonner à cette école un nom correspondant à sa fonction.»
Question publiée au JO le :18/12/2012 page :7480
Que va-t-il répondre de nouveau...?
Photo wilkipédia Vincent Peillon ministre de l'Education

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