dimanche 3 juin 2012

la fête des mamans - frais des députés, un nouveau scandale ? - l'industrie française va mal - Président et gouvernement ont du pain sur la planche


A nos mères qui nous ont quitté beaucoup trop vite,
Aux mères de nos filles soucieuses de leur avenir,
Qui sont devenues mères de nos petits-enfants,
Cette fête symbolique marque la fuite du temps,
Vivre avec son passé, pour un esprit futile,
Ce n'est pas bien gênant, si l'on garde le sourire.

La roue tourne pour tous, regardons devant nous.
Rions à nos bonheurs et pleurons nos malheurs.
Reprenons le dessus, oublions tous ces heurts.
Nos mères seront toujours un recours pour nous tous.

Ne dit-on pas, la mère patrie, pays ou nous sommes nés ?.
Bonne fête à toutes les mamans de France et de Navarre.

Zen-fiatlux, dimanche 3 juin 2012 10h15


" Frais des députés opaques et secrets : "ça finira en scandale"
Le chantier de la transparence financière de l'Assemblée reste inachevé. L’absence de contrôle sur les frais fait craindre le scandale. Des députés redoutent des effets sur l'image de la politique..."

On vous dit qu'elles ou qu' ils sont désintéressés nos parlementaires !
Sud-Ouest vous en dit plus !


NDLR-Forte contraction dans l'industrie en mai en France


" PARIS (Reuters) - L'activité dans le secteur manufacturier français s'est fortement contractée en mai, mais un peu moins qu'annoncé en première estimation, selon les résultats définitifs de l'enquête Markit auprès des directeurs d'achats publiés vendredi."...


http://www.boursorama.com/actualites/ndlr-forte-contraction-dans-l-industrie-en-mai-en-france-f0a3e454b9aeaf5bab6faa8d32366726



Le Président Hollande et son premier ministre Ayrault ont du pain sur la planche !.

Fiscalité trop élevée, c'est le refrain habituel !. Et, si le droit était devenu un frein au développement des PME ?. Revitaliser le tissu industriel dans les régions et, mettre tous les moyens financiers disponibles à la disposition des entreprises innovantes, les PME.

Un exemple parmi beaucoup d'autres, prenons le cas des Transports publics : verser des sommes délirantes d'argent public à un groupe privé, peu concurrentiel, à la gestion " incontrôlable", c'est déjà une aberrance dans le contexte actuel de crise financière profonde. C'est surtout une hérésie économique qui se traduit par une absence de transparence dans les véritables coûts réels de gestion" sans risque" !. Des solutions beaucoup plus économes existent. Mais pour cela, il faut des décisionnaires et des élus qui connaissent tous les rouages et toutes les ficelles du métier.

Une question me vient à l'esprit : un réseau urbain, bus-tram, est assuré par une compagnie d'assurances. Cette même compagnie confie la gestion des sinistres à un tiers (dépendant ou filialisé ?). Les primes d'assurances sont fixées à l'année et, souvent mutualisées entre plusieurs réseaux du Groupe... Au bout du compte, comment peut-on être certain d'avoir payé le véritable montant de la prime exigée ?.

Il n'y a pas de petites économies, surtout quand il s'agit des finances publiques !.

Le prix des péages des autoroutes français ne cessent de grimper ?. Ce n'est même pas l'Etat français qui en profite ?. 

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Repousser l'échéance d'une sortie de la Grèce, c'est devenu un leitmotiv qui ne fait qu'encourager la débâcle financière inévitable !.

Personne n'y croît plus, depuis au moins trois ans, que les grecs rembourseront leurs dettes publiques et privées. Depuis l'effacement de plus 100 milliards d'euros, aujourd'hui, les grecs auraient tort de ne pas demander l'effacement total de leur dette colossale, environ 350 milliards !. Quand on aime, on ne compte pas auraient dit Mario Draghi et Barosoo ?

Bosser petits français, il faudra payer les dettes des grecs et des autres

Merci Bilderberg

Anonyme a dit…

Délit de faciès, comment éviter les abus ?.

Simplement dire au policier de lever son doigt en s'excusant de contraindre le citoyen lambda à décliner son identité. J'oubliais pas de tutoiement dans les forces de l'ordre, les interpellés, ces chers délinquants, ils ont le droit eux ?.

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