mercredi 13 juillet 2011

OTAN - Relation syndicale - le libéral Sarkozy..., extraits choisis puisés dans le livre " Le temps présidentiel " aux éditions du NIL.


 Dans ce deuxième livre, à la page 220, MEMOIRES 2, il est clair que Hubert Védrine et le Président Chirac étaient sur la même longueur d'ondes quant à la non réintégration de la France dans l'OTAN. On peut dire tout ce que l'on veut, monsieur Jacques Chirac nous a évité la guerre en Irak, mais pas la suite des évènements....
Page 470, je cite le Président Chirac : " ...La CFDT n'est pas notre seule interlocutrice. Mais elle est celle avec qui le dialogue peut s'engager sans idées préconçues, sur des bases claires et définies à l'avance, pour ne viser rien d'autre qu'atteindre le même objectif : dans le cas précis, sauver notre système de retraites..."

Dans cette page 487, chacun pourra s'en rendre compte que les relations entre Jean-Louis Debré et Jean-Pierre Raffarin ne sont pas au beau fixe. Je ne parle pas du climat détestable entre députés de la majorité. Le président Chirac s'entretenant avec Jean-Louis Debré au sujet de la nomination d'un premier ministre, il dit ceci en parlant de Nicolas Sarkozy : " Sarkozy a une image trop libérale, ce n'est pas ce qu'attendent les français. En voulant séduire l'extrême droite de manière trop évidente, il va vous placer dans une situation délicate...".
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Courriel : fevrieralain@hotmail.fr

1 commentaire:

papi mouzeau a dit…

Parmi les bonnes citations de Georges Clémenceau, surnommé le Tigre et le Père la Victoire, papi mouzeau a retenu :

Un traître est un homme politique qui quitte son parti pour s'inscrire à un autre. Par contre, un converti est un homme politique qui quitte son parti pour s'inscrire au vôtre.

Tout le monde peut faire des erreurs et les imputer à autri : c'est faire de la politique.

En politique, on sucède à des imbéciles et on est remplacé par des incapables

De bons oeufs à la coque, voilà belle coquette, étant un très bon coq, puis-je en être la mouillette.

Circulaire signée Georges Clémenceau, alors qu'il était rédacteur en chef de L'Aurore :

"Les journalistes ne doivent pas oublier qu'une phrase se compose d'un sujet, d'un verbe et d'un complément. Ceux qui voudront user d'un adjectif passeront me voir dans mon bureau. Ceux qui emploieront un adverbe seront foutus à la porte. "