Le 29 mai 2005, l'Europe et l'Euro avaient été contestés par 55 % de français. Ils avaient voté NON au référendum sur la Constitution européenne !. Nos parlementaires, députés et sénateurs, ont refusé d'écouter le peuple. Voilà où nous en sommes aujourd'hui : une récession économique grave, une régression sociale évidente, un pouvoir d'achat en chute libre, une très mauvaise situation économique et financière des pays voisins y compris le nôtre, tous se rapprochant du cent pour cent d'endettement du PIB, quand ce n'est pas plus !. La Grèce est bradée aux sociétés spéculatrices, le Portugal s'écroule, l'Espagne, l'Islande (nouvel entrant !), l'Italie et la France, ils ne sont pas loin du chaos ...?.
Jean-Claude Trichet, président sortant de la BCE,
: " Quand on a une monnaie unique et pas de budget fédéral, il faut avoir une surveillance très attentive des politiques budgétaires" et à cet égard, "j'ai eu le sentiment de prêcher dans le désert " a déclaré Jean-Claude Trichet,, le président de la Banque centrale européenne.Monsieur Mario Draghile, le gouverneur de la banque centrale italienne, remplace monsieur Trichet à la tête de la BCE. Notez qu'il a bénéficié de l'appui de la France !. Ce nouveau président de la BCE a occupé un poste important à la banque Goldman Sachs dans les années 2002-2005. Ne dit-on pas que Goldman Sachs aurait contribué à «présenter» la situation financière de la Grèce sous son meilleur jour afin de remplir les critères de Maastricht,, baptisés maintenant «critères de convergences» ?.
Quand on connaît la situation des pays défaillants de la zone euro, doit-on encore s'interroger sur notre avenir européen ou pas ?. Permettez moi d'en douter sérieusement.
Bonnes vacances
Chateau du Roi René
Finistère nord
Port de plaisance le Moulin Blanc,
près de chez Kersau "Le bout du monde"
Paysage du Pays Basque, pays de "la Pastorale"
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