mardi 1 février 2011

" De la discussion jaillit la lumière " ... Fiat-lux !

Il y a des journalistes qui en raffolent de dénoncer la souffrance des personnalités ; ils ne sont pas les seuls !

RTL le 31 janvier 2011
Alors que des rumeurs allaient bon train quant à sa santé, l'ancien président de la République, bon pied bon oeil, a prouvé que tout allait bien


Pourquoi le Journal Du Déballage, du dimanche 30 janvier 2011, s'en prend-t-il à la santé du Président Jacques CHIRAC ?. Ce journaliste n'a-t-il jamais eu de trou de mémoire, est-il plus fort que les médecins, est-il un journaliste-voyant....?. Hier midi, il a trouvé des alliés sur Europe 1 et, encore ce matin dans le vocable et le ton de Marc Fogiel à l'évocation de "l'évènement" !.


Et si le Président Jacques Chirac avait de véritables révélations à faire sur tel ou tel cas particulier... ?
Sur Le Post.fr modifications le 1er novembre 2009
Tir à la corde : Quand 30 % tire à droite et 70 % tire à gauche, le résultat est insconstestable !.

La logique de destruction sans véritable projet d'avenir associée à une logique uniquement basée sur le profit et la croissance ne peuvent qu'emmener la France et le monde dans le mur.
En deux ans et demi de sarkozysme, c'est la chienlit dans le pays !. Comme l'aurait dit le Général, c'est la chienlit moralement, économiquement et politiquement. Quel bilan catastrophique à mi-mandat, que de mensonges, que d'incompétences, que d'immobilisme de la part de nos parlementaires devant l'accroissement abyssal de l'endettement de la France !. On peut raconter n'importe quoi au peuple, les faits sont là et, les générations futures sont condamnées à d'énormes sacrifices financiers toute leur vie durante.


Une exception, peut-être, les enfants de nos parlementaires, ceux des élites, des hauts fonctionnaires, des professions libérales et des hauts cadres ou chefs d'entreprises.
La crise à bon dos et vous verrez que les pays voisins de la France s'en remettront certainement beaucoup mieux..., si l'on se situe dans l'objectif d'une nouvelle réelle croissance, ce qui est loin d'être assurée !.

Quant à monsieur le Président Chirac, le poursuivre pour emplois fictifs, pourquoi pas ?. Il faudrait revoir toutes celles et tous ceux élus, parlementaires, responsables d'Etabissements publics qui, eux-mêmes ont profité de nombreux passe-droits qui pour promener la famille, qui pour l'entretien de propriétés privés, qui pour construire sa maison et la maison du gardien, qui pour surveiller ses propriétés, qui pour employer du personnel dans un garage privé...etc. A quand la création de nouvelles prisons pour tous ces profiteurs, voilà une idée facile à concrétiser pour relancer l'économie par le grand emprunt ?. Zen 49

RTL : Les affaires d'emplois fictifs présumés à la mairie de Paris seront bien jugées le 7 mars, comme prévu, a décidé le tribunal correctionnel de Paris

Monsieur le Président Jacques Chirac, vos détracteurs devraient d'abord balayer devant leur porte pour que Justice soit faite dans tout le pays. Dans chacune des collectivités, des Mairies, des Conseils généraux, des Conseils régionaux et dans les hautes sphères du pouvoir, il n'y aurait-il donc que des saintes nitouches ?.
à votre bonne santé Président, j'espère vivement que le fait de comparaître en justice, ça servira d'exemple et, cela aura peut-être le mérite de calmer les ardeurs mercantiles de nos " maîtres à penser "  dans le monde politico-financier où " une chatte n'y retrouverait pas ses petits " !.


" La page que vous avez demandée n'existe pas
ou elle n'est plus accessible à cett adressse..."

" Chirac mis en examen "
Mathieu Delahousse
22/11/2007 Mise à jour : 14 : 32



Réduction du temps de travail avec augmentation de la productivité et blocage des salaires, les salariés des grandes entreprises savent ce que c'est !

Sous le gros titre d'un article du journal Le Monde de l'Economie, du 22 mai 1979 : " Que dites-vous de la crise ?... ou la perplexité des " décideurs ", on lit :
" Des remèdes techniques ou sociaux "... Les pistes de solutions, pourtant, paraissant ne pas manquer...
" Une autre piste familière est celle de l'innovation sociale. Monsieur Jacques Delors a renouvelé à Dubrovnik, ses exhortations habituelles, devant un parterre de chefs d'entreprise moins imperméables qu'on aurait pu le craindre à des conseils où beaucoup auraient naguère décelé un parfum de fagot. Monsieur Yves Sabouret ( Matra-Europe 1 ) a expliqué pourquoi l'allègement du temps de travail était inévitable tandis que M. Paul Appel ( Entreprise et Progrès ) se prononçait pour l'affectation de fonds publics à la création d'emplois utiles plutôt qu'à l'indemnisation des chômeurs. M. Jacques Dopchie (Inno ), a souligné la nécessité pour le patronat, en tant que corps, de créer des emplois dans le tertiaire notamment puisque l'industrie n'en procure plus guère. Allant plus loin, M. José Bidegain a montré que le pouvoir dans l'entreprise seraait de plus en plus jugé en fonction de ses résultats et de sa capacité de dialogue. En présence de " contre-pouvoirs qui exercent légitimement leur rôle - personnel, consommateurs, pouvoirs publics, parfois actionnaires,- le chef d'entreprise doit prendre l'habitude de vendre ses projets, de les justifier, d'informer pour convaincre."

Toutefois, là aussi, la contestation est vite venue : la réduction des horaires alourdira les coûts si elle n'est pas compensée par un gain de productivité ou une limitation des salaires ; loin d'alléger le chômage, elle fragilisera des firmes supplémentairement. La compétition internationale, de plus en plus âpre, nécessite que le chef d'entreprise puisse décider vite et fort, sans trop s'embarasser d'interminables consultations."...Gilbert Mathieu

Ah, ces conflits d'intérêts, ces encarts publicitaires, ces passe-droits, ces emplois de complaisance, ces marchés publics-privés, etc... , combien ça coûte comme le dit si bien, Jean Pierre Pernaut ?

8 commentaires:

Boursicoteur a dit…

Associated Press 1er février 2011

" L'accession à la propriété, du "statut qui protège" au "rêve qui piège" :

"L'accès à la propriété, quand il se réalise dans des conditions financières particulièrement tendues, peut être source de déstabilisation pour les ménages qui y consacrent une part trop importante de leurs revenus", rappelle la Fondation Abbé Pierre dans son 16e rapport annuel sur le mal-logement en France.

"Pour les ménages qui ne peuvent finalement pas bénéficier d'un apport important, l'emprunt est un impératif qui entraîne un effort long et parfois douloureux en terme de sacrifices, notamment sur d'autres postes de dépenses", note le rapport.

Et pour les plus modestes, selon la Fondation, le moindre "accident de la vie" peut faire passer l'accession à la propriété de "statut qui protège" au "rêve qui piège", avec en bout de chaîne une situation de surendettement.

Le rapport note par exemple qu'"alors qu'en 2001, l'encours des crédits immobiliers représentait 34% des revenus disponibles des ménages, il en représente 41% en 2004 et 46% en 2005" et que "le poids de l'endettement a surtout augmenté pour les ménages les plus modestes".

Ainsi, souligne le rapport en reprenant des statistiques de l'INSEE, "l'emprunt qui représentait 3,4 années de revenu pour les ménages les plus modestes à la fin des années 90 en représente 5,3 au milieu des années 2000, alors que son poids a faiblement augmenté pour les plus riches", passant de 1,7 à 2,4 années.

La Fondation Abbé Pierre rappelle également que selon l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (ONPES), la crise devrait affecter les projets de plusieurs centaines de milliers d'accédants à la propriété.

"Montée du chômage, fins de contrats d'intérim ou des CDD, révision à la baisse des salaires... ces phénomènes devraient en effet affecter 500.000 accédants à la propriété et rendre leur projet plus difficile", rappelle la Fondation.

Et "si ces ménages, dont les pertes de revenus sont estimées à 25%, envisagent de réduire leurs dépenses de loisirs, d'habillement, voire d'alimentation, ces privations ne suffiront sans doute pas à faire face à la crise. Plus de 30% de ces accédants, soit 150.000 ménages, vont devoir abandonner leurs projets" et "près de la moitié d'entre eux risquent de perdre de l'argent lors de la revente de leur bien". AP
Actualités Boursorama

Joue DD a dit…

Que ne ferait-on pas pour vendre du papier ?

Olivier Jay, le fameux journaliste investigateur du JDD qui s'inquiète de la santé des personnalités a dit ce soir dans la revue de presse de la 3, au sujet de Jacques CHIRAC, qu'il avait entendu "à mots couverts" dans le microcosme parisien que et que ....

Sa justification sur ses allégations concernant la maladie d'Alzheimer de Jacques Chirac ne tiennent pas debout. Ce monsieur étant journaliste, sa carte de presse lui donne tous les droits de s'obstiner contre les démentis....Ce n'est que de la presse people ?.

Alain Février a dit…

A l'anonyme précédent, heureusement que tous les journalistes ne sont pas à mettre dans le même sac !

Où allons nous ?

RTT
Les effets de l'obtention des 35 H avait permis aux entreprises un allègement de charges sociales de 12% et, une remise en cause des Accords entreprises et des Conventions Collectives. Les salariés français bénéficiaires avaient, eux, sacrifié leurs augmentations de salaires durant 4 années, ils ont vu leur temps de travail annualisé et la suppression du paiement des heures supplémentaires à 25% et à 50 %.

Depuis, la journée Raffarin de solidarité est venu amputé, un peu plus, le revenu des salariés.

Depuis le génie sarkozien a dégrévé de charges sociales les heures supplémentaires et les a défiscalisées. C'était un juste retour des choses, sauf que cette réforme, loi TEPA, a privé de recettes les régimes sociaux. Le système sarkosien, c'est on en donne d'une main pour en reprendre davantage de l'autre !.

En 3 ans et demi de sarkozysme, la majorité présidentielle a réussi le tour de force de vider les caisses du pays, d'avoir fabriqué 70% de smicards, d'avoir plus 10 000 000 de pauvres, d'avoir plus de 4 000 000 de chômeurs... et, au bout du bout d'avoir cassé les régimes sociaux et créé une multitude de taxes...

Que peut-on encore en attendre de cette fin de règne du sarkozysme, une chute supplémentaire de vos revenus, un Krach immobilier, une multiplication de surrendettés, une pauvreté accrue... ?

Il ne faudrait pas s'accomoder des mouvements de révolte de la population outre-méditerranéenne. La France et certains pays européens n'en sont pas à l'abri !

Ouvrez les yeux les jeunes et les moins jeunes !. Si vous allez voter aux cantonnales du mois de mars prochain, ne tirez pas au sort votre bulletin de vote, pensez aux conséquences...

Alain Février

Bloc-calepoin a dit…

Etonnant, non ce nouveau spectacle ?.

Un ami de François Fillon, un UMP qui reconnaît que les réformes sur les indemnisations d'une catégorie de chômeurs ont foiré !

Extraits du blog :
31 janvier 2011

" * BRAVO, C'EST NOUS QU'ON PAYE !"

« Tout le monde se tait, mais le fait est avéré et rapporté par le journal « Les Echos » : en 2009 (dernier bilan connu), les intermittents, techniciens et artistes, du spectacle vivant représentent 3 % des allocataires de Pôle emploi, mais 33 % du déficit de l'assurance-chômage. Cent mille personnes couvertes,

1 milliard d'euros de pertes. En clair ils ont reçu 1,3 milliard d’euros pour 223 millions de cotisations versées. un déficit qui est un spectacle (dramatique) à lui seul. Vous comprenez maintenant pourquoi les coulisses sont interdites au public.

Et pourtant, on croyait le problème résolu avec les réformes de leur régime en 2003 puis 2006. On se souvient même du conflit qui avait duré tout l’été  et qui avait pourri les grands festivals. C’est qu’à défaut de bosser, ils ont une grande capacité de nuisance. Toucher à ce régime, c’est s’exposer à de gros ennuis.

On sait que les règles spécifiques d'indemnisation sont plus souples que celles du régime général puisque,....» lire la suite sur ce lien

http://calepindh.typepad.fr/calepindh_le_blocnotes_de/2011/01/bravo-cest-nous-quon-paye.html

Après le mouvement de colère des CRS, à qui le tour ?.

Bloc-calepoin

Boursicoteur a dit…

« L'envolée du chômage des seniors....

« Malgré le souhait du gouvernement de voir les seniors rester plus longtemps au travail, le nombre de demandeurs d'emploi de plus de 50 ans a augmenté de plus de 10% en 2010 sous le coup de la crise qui a incité les entreprises à se séparer des salariés les plus âgés..... »

http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_marches.phtml?num=c802313ee3ff7224f47c8f060ef5649b

Anonyme a dit…

le Zypadhera figure dans la liste des 77 médicaments à surveiller

INFO LIBE avec VIDEO
« Pour motiver les commerciaux en charge de la promotion des médicaments, Eli Lilly France a conçu une parodie d'un clip où un médecin se fait fouetter.

«....Dans la version revisitée par Lilly, on voit une panthère (la visiteuse médicale) fouetter un médecin et le forcer à se deshabiller pour le forcer à prescrire le Zypadhera, la dernière molécule du labo pour traiter la schizophrénie. «Prescrire, oui je veux prescrire», lâche-t-il à trois reprises d'une voix suppliante à la fin du spot, le visage tordu de douleur et les mains sur les parties génitales. Apparait ensuite à l'écran la boite du médicament avec ce slogan: «Zypadhera, prescrivez-le sinon ça pourrait mal se passer»....Libé

Copier ce lien
http://www.liberation.fr/grille-des-programmes-et-podcasts/040122-video-in-vivo

Alain Février a dit…

Mon coup de gueule

Trop de gens se taisent mais n'en pensent pas moins !

L'éthique, les valeurs, les chartes, c'est le catalogue habituel proposé en période électorale que l'on enterre le lendemain du scrutin !

Des bailleurs sociaux qui participent et qui ont participé activement à entretenir l'inflation immobilière en liquidant au prix du marché leurs vieux logements de 40 ans et plus. Vous verrez que ce seront ces mêmes personnes qui se dédouaneront de la crise des subprimes ( bulle immobilière) qui s'annoncent.... Pas besoin d'avoir fait de grandes études pour voir que la pauvreté et le chômage augmentent, que la baisse du pouvoir d'achat et la multiplication des taxes sont une réalité, que les prix des produits de première nécessité explosent, que l'inflation rampante actuelle prend le chemin d' une inflation galopante..., tous les ingrédients pour une bulle financière et pour une explosion sociale sont à nos pieds.

Quand on pense que ces gens obtiennent des subventions européennes, régionales et locales, du 1% logement et, ils ne sont même pas capables de répondre aux questions posées et à un courrier A/R pour justifier les charges au logement ?. Si vous avez un problème, faites comme moi, allez déposer une requête auprès du juge de proximité.
Ne les écoutez pas si l'on vous dit que c'est de la faute à la RGPP, car le conseil d'administration du T.A et dans les C.A. des autres bailleurs sociaux., il y figure des élus, député, avocat bâtonnier,
syndicalistes... ?.

Trop c'est trop, le manque de respect, les absences de véritables réponses, l'insouciance du propriétaire bailleur, les ballades téléphoniques payantes, je considère que cela s'apparente à du harcèlement pour virer leurs locataires.
Souhaitant que les politiques à défaut d'avocat, ils s'emparent rapidement de ces dysfonctionnements récurrents.

Alain Février

Anonyme a dit…

Dans le courrier de l'Ouest de ce samedi 5 février ( bonne fête )" Les promesses du prêt à taux 0"

"Le nouveau "PTZ" vise à doper l'accession à la propriété, sans condition de ressources"

Extraits des commentaires de professionnels de l'immobilier

Un notaire angevin : "... On a toujours pas de visibilté". On sent que ça peut évoluer très bien ou très mal, sans savoir pourquoi..."

Un banquier d'une grosse banque : " Les taux restent à un niveau très faible "
(de octobre à décembre les taux du crédit immobilier sont passés d'environ 3% à 3,70 %, hors assurances, proposés pour un prêt d'une durée moyenne de 15 ans)

Un agent immobilier : "Pas d'amalgame avec Paris ou la région PACA"
" Chez nous on est dans une fourchette de 1850 à 2100 € m2 dans l'ancien. Et quand on atteint le seuil critique, au-delà de 250 000 ou 280 000 €, c'est toujours aussi difficile de vendre..."

"...à ses yeux, les programmes de construction sont inadaptés à la demande actuelle. Il en veut pour preuve les 2 500 logements vacants dans l'agglomération angevine, dont près de la moitié correspondent à des petites surfaces"
et, de conclure : " Le logement, c'est le fonds de commerce des politiques "

A lire dans le C.O. d'aujourd'hui

UN ALLIE