Clic, clic, clic sur le vert pour découvrir ou redécouvrir l'histoire du Palais du Luxembourg et celle du Sénat.
Léon Bourgeois, un démocrate de gauche Prix Nobel de la Paix en 1920, auparavant, il avait été nommé 12 fois ministres, dont le successeur de Jules Ferry comme ministre de l'instruction publique puis Président du Conseil, ministre du travail, Président de la Société des Nations en 1919 et, pour finir, Président du Sénat de janvier 1920 à février 1923.
Bienvenue au Sénat
Un site au service des citoyens
Communiqué du 18 janvier 2010
Nouvelles pages Internet sur l’histoire du Sénat et du Palais du Luxembourg
Une version rénovée des pages sur l’histoire du Sénat est en ligne sur le site http://www.senat.fr/.
Textes, vidéos, extraits sonores et reproductions d’originaux proposent un voyage dans l’histoire institutionnelle de cette assemblée depuis 1795, dont les soubresauts ont accompagné ceux des institutions politiques françaises depuis la Révolution.
S’y retrouvent les portraits des personnages illustres qui ont siégé au Palais du Luxembourg : Prosper Mérimée, Victor Hugo, Victor Schoelcher, Clemenceau…
Textes, vidéos, extraits sonores et reproductions d’originaux proposent un voyage dans l’histoire institutionnelle de cette assemblée depuis 1795, dont les soubresauts ont accompagné ceux des institutions politiques françaises depuis la Révolution.
S’y retrouvent les portraits des personnages illustres qui ont siégé au Palais du Luxembourg : Prosper Mérimée, Victor Hugo, Victor Schoelcher, Clemenceau…
Des dossiers retracent l’histoire des grandes lois qui ont marqué leur époque, comme les lois scolaires de Jules Ferry, la loi municipale de 1884, ou la loi sur le SMIG de 1950.
Le site permet de revivre les grandes heures du Palais du Luxembourg, souvent dramatiques : l’accueil des blessés de la Commune, le procès du Maréchal Ney, la cohue du procès Déroulède, les comités secrets de la Grande Guerre, ou les combats de rue du 25 août 1944.
Une plongée plus originale dans les fonds d’archives du Sénat est aussi proposée, avec des dossiers insolites, comme celui sur l’incendie de l’hémicycle du Sénat ou encore le « banquet Wilson » qui permet de revivre (jusqu’au menu du banquet et au programme musical !) cette réception solennelle, le 20 janvier 1919, dans la salle des Conférences du Palais du Luxembourg, des 250 hautes personnalités venues à Paris pour la Conférence de la Paix.
Consultez les pages sur l’histoire du Sénat :
Léon Bourgeois, un démocrate de gauche Prix Nobel de la Paix en 1920, auparavant, il avait été nommé 12 fois ministres, dont le successeur de Jules Ferry comme ministre de l'instruction publique puis Président du Conseil, ministre du travail, Président de la Société des Nations en 1919 et, pour finir, Président du Sénat de janvier 1920 à février 1923.
Courriel : fevrieralain@hotmail.fr
7 commentaires:
Le "clic-clic-clic" de ce blog est une mine d'or pour moi qui suis très intéressé par l'histoire politique de mon pays.
J'en suis encore à "la journée des dupes" et à la fin de règne de Louis XVI. Le roi n'a plus un franc bien qu'il avait fait appel au banquier Necker pour tenir les cordons de la bourse. La contestation de la Monarchie, l'échec des réformes vont conduire le pays à la Terreur et à l'avènement du Tiers-Etats suivi par la naissance du Comité de défense générale, du Comité de Salut public, du Comité de Sureté générale...
Paris II
Elections régionales 2010
L'UMP et la majorité présidentielle veulent y croire ?
Quand les bilans financiers des Conseils généraux seront publiés, la descente aux enfers deviendra-t-elle inévitable ?. Voilà ce qui arrive quand on veut ôter la paille dans l'oeil du voisin sans en enlever la poutre du sien !.
Si l'on compare les deux ou trois régions en difficultés financières aux très nombreux Conseils généraux de droite qui ont endetté leurs concitoyens pour 30 ou 50 ans, les électeurs contribuables ne seront pas idiots. Ils n'auront même pas à mettre dans la balance la faillite financière de l'Etat ni son désengagement auprès des régions.
REFERENDUM...! "... Les Français doivent pouvoir se prononcer directement sur la pérennité des départements et des régions ou sur leur fusion programmée...."
N° 206
SÉNAT
SESSION ORDINAIRE DE 2009-2010
Enregistré à la Présidence du Sénat le 19 janvier 2010
MOTION
tendant à proposer au Président de la République de soumettre au référendum le projet de loi de réforme des collectivités territoriales (n° 170, 2009-2010),
PRÉSENTÉE
Par M. Jean-Pierre BEL, Mmes Nicole BORVO COHEN-SEAT, Michèle ANDRÉ, M. Jean-Etienne ANTOINETTE, Mme Éliane ASSASSI, MM. David ASSOULINE, Bertrand AUBAN, Jean-Michel BAYLET, Mme Marie-France BEAUFILS, MM. Claude BÉRIT-DÉBAT,........Roland POVINELLI, Daniel RAOUL, Marcel RAINAUD, François REBSAMEN, Daniel REINER, Mme Patricia SCHILLINGER, MM. Michel SERGENT, Jean-Pierre SUEUR, Mme Odette TERRADE, MM. René TEULADE, Bernard VERA et Richard YUNG,"
environ 80 Sénateurs
(Envoyée à la commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d'administration générale)
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Avec la réforme territoriale, scindée en quatre projets de loi, le Gouvernement entreprend une profonde réorganisation administrative locale qui soulève des questions fondamentales, constitutionnelles et politiques, que seul le peuple souverain doit trancher.
Le recours au référendum constitue une obligation pour au moins cinq motifs....
MOTION
Article unique
En application de l'article 11 de la Constitution et des articles 67 et suivants du Règlement, le Sénat propose au Président de la République de soumettre au référendum le projet de loi de réforme des collectivités territoriales (n° 170, 2009-2010)
Sources Bienvenue au Sénat
Triple oui pour un référendum,la mainmise de l'Etat sur nos collectivités locales fait très peur.
Depuis plus de 2 ans, la gouvernance de la France, c'est beaucoup de casse et d'endettement. Rien de concret à l'horizon pour remplacer toute cette casse économique et sociale, malgré les milliards et les milliards dépensés.
De là à penser que l'Etat voudrait taxer les Régions après avoir mis le pays en faillite, il n'y a qu'un petit pas à franchir ?
Le 20 janvier 2010 fera-t-il date dans les annales des libertés de la presse dans notre belle démocratie française ?
La majorité présidentielle voudrait-elle museler l'information subventionnée ?
L'UMP veut-il contrôler l'information dans les médias et sur le territoire français ?.
Ce sont bien les contribuables français qui financent largement l’AFP (Agence France Presse).
C'est l'AFP qui alimente tous les médias français et une bonne partie des médias internationaux.
Le président Sarkozy et l'UMP voudraient-ils mettre l'AFP au pas comme la Pravda, en Russie et choisir les informations à diffuser ?.
Communiqué de l'Agence France Presse publié sur boursorama à 16:52, le 20 janvier 2010
" L'Agence France-Presse (AFP), dont les dépêches, vidéos et photos sont de plus en plus présentes sur internet, s'est dotée de nouveaux logiciels permettant de détecter les utilisations illicites de sa production, a annoncé mercredi l'AFP."
Lire bakchich.info du 21 mai 2008
Urgent : Sarko file des pêches à l’AFPChronique / mercredi 21 mai 2008 par Paul Litzer
" Paris, 21 mai 2008 - L’intersyndicale de l’Agence France-Presse appelle ce mercredi à 15h00 à un rassemblement devant son siège, place de la Bourse, à Paris pour protester contre les « attaques répétées contre l’AFP émanant de hauts responsables politiques français ». De son côté, Super Sarko vient de se rendre compte que l’AFP choisit l’actualité. Depuis, il agite ses petits poings....."
la suite à lire sur le site de bakchich.info...
Alain Février
Libertés publiques en danger
après les lois hadopi I et 2, la suppression du juge d’instruction, le recul sur les class actions ( les recours collectifs ) la remise en cause des droits des accusés, l'explosion de la vidéo surveillance, etc...,
et maintenant, voilà que le gouvernement s'attaque à l'AFP pour trier les "bonnes" dépêches ?. Pourquoi un tel silence des médias ?
" Arrêt sur images-sur la page vite dit "
21h40 vous n'êtes pas obligés
" Journalistes pas indépendants, mais médias fiables (sondage)
Par Gilles Klein le 20/01/2010 "
" Les Français estiment de moins en moins les journalistes indépendants, mais feraient de plus en plus confiance aux médias où travaillent ces mêmes journalistes : telle est la contradiction (non expliquée) du traditionnel "baromètre" de La Croix.
Selon ce sondage, à paraître jeudi 21 janvier, 66% des personnes interrogées estiment que "les journalistes ne sont pas indépendants face aux pressions des partis politiques et du pouvoir " soit + 5% par rapport à 2009 et + 9% par rapport à 2008..."
la suite à lire sur @ arretsurimages - la Croix
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