Ohé,
Ohé, Contribuables, souvenez-vous :
"Demi-part
des parents isolés, une niche fiscale pour l'UMP ?."
Le
Gouvernement Fillon s'attaque aux niches fiscales... des plus pauvres
: la 1/2 part parent isolé ?. Les conseillers élyséens ont
certainement révisé l'histoire de France :Au début du 20ème
siècle, le ministre des finances du gouvernement Georges Clémenceau,
J.M.A. Caillaux s'exclama : " bien sûr les riches ont la
capacité de supporter des impôts plus lourds, mais les pauvres sont
tellement plus nombreux..."?. Mesures adoptées cette nuit !
mercredi, 10 décembre, 2008
Sources
Politique.net :
" Les salaires des collaborateurs de l'Elysée ont augmenté de 50% en deux ans"
"....D'après la loi de finances de 2007, le coût de ces contractuels était de 5,49 millions d'euros. En 2009, le coût de ces contractuels passe à 9 millions d'euros, soit une hausse de 52,16% en deux ans."
" Cette forte augmentation de la masse salariale pourrait s'expliquer par une multiplication des embauches de contractuels. Or, selon les décomptes de Rue89, seulement sept contractuels supplémentaires ont été embauchés entre 2007 et 2008, et aucune nouvelle embauche supplémentaire n'est prévue dans le budget 2009. Autrement dit, à effectif constant, les contractuels coûtent 52,16% de plus en 2009 qu'en 2007...".
" Les salaires des collaborateurs de l'Elysée ont augmenté de 50% en deux ans"
"....D'après la loi de finances de 2007, le coût de ces contractuels était de 5,49 millions d'euros. En 2009, le coût de ces contractuels passe à 9 millions d'euros, soit une hausse de 52,16% en deux ans."
" Cette forte augmentation de la masse salariale pourrait s'expliquer par une multiplication des embauches de contractuels. Or, selon les décomptes de Rue89, seulement sept contractuels supplémentaires ont été embauchés entre 2007 et 2008, et aucune nouvelle embauche supplémentaire n'est prévue dans le budget 2009. Autrement dit, à effectif constant, les contractuels coûtent 52,16% de plus en 2009 qu'en 2007...".
Pouvoir
d'achat des retraités et Revalorisation des pensions de retraite,
une seule augmentation au 1er avril 2009 qui sera basée sur
l'inflation de 2008.
D'après les estimations de CNAV, la baisse du montant des pensions de retraite est de 6 % depuis la réforme Balladur de 1993 ( à cela il faut ajouter une baisse équivalente sur les pensions complémentaires du secteur privé plus la majoration de 10 % pour avoir élevé 3 enfants au moins qui, elle a été ramenée à 5 % depuis 1998 ) puis cette majoration a été fiscalisée en 2012 !.
Pour l'année 2008, ce sera encore une nouvelle baisse de l'ordre de 1,5 %
D'après les estimations de CNAV, la baisse du montant des pensions de retraite est de 6 % depuis la réforme Balladur de 1993 ( à cela il faut ajouter une baisse équivalente sur les pensions complémentaires du secteur privé plus la majoration de 10 % pour avoir élevé 3 enfants au moins qui, elle a été ramenée à 5 % depuis 1998 ) puis cette majoration a été fiscalisée en 2012 !.
Pour l'année 2008, ce sera encore une nouvelle baisse de l'ordre de 1,5 %
Départ
en retraite anticipée dans le cas des carrières longues : C'est la
fin, si l'on s'en réfère au tableau ci-dessous :
Né
en 1948 : 168 trimestres, en 1949 : 169, en 50 :
170, en 1951 : 171 et en 1952 : 172
"
Le Sénat défend les régimes fiscaux « Malraux » et « Monuments
historiques », au nom de la sauvegarde du patrimoine "
" Lors de sa séance du 8 décembre 2008, le Sénat a adopté des amendements présentés notamment par MM. Philippe Richert (UMP – Bas-Rhin) et Jacques Legendre (UMP- Nord) visant à préserver la portée et l’efficacité du régime « Malraux », en desserrant les contraintes fixées par l’Assemblée nationale :
- d’une part, le plafond annuel des dépenses déductibles est porté de 100.000 à 150.000 euros ;
- d’autre part, les taux applicables sont majorés, passant à 30 % dans les zones de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP) et 40 % en secteur sauvegardé.
Alors que le Président de la République a annoncé, dans le cadre du plan de relance de l’économie, sa volonté d’accélérer les investissements en faveur de l’entretien et de la mise en valeur du patrimoine, ces avancées confirment l’importance de ce dispositif fiscal : il constitue en effet un appui essentiel à l’initiative privée, pour assurer la sauvegarde voire la « reconquête » des quartiers historiques ; il s’inscrit également dans les politiques publiques des villes en matière d’urbanisme, de logement et de mixité sociale.
Dans le même sens, le Sénat a supprimé, sur proposition conjointe de la commission des finances et de la commission des affaires culturelles, le plafonnement du régime fiscal en faveur des monuments historiques non ouverts au public. "
" Lors de sa séance du 8 décembre 2008, le Sénat a adopté des amendements présentés notamment par MM. Philippe Richert (UMP – Bas-Rhin) et Jacques Legendre (UMP- Nord) visant à préserver la portée et l’efficacité du régime « Malraux », en desserrant les contraintes fixées par l’Assemblée nationale :
- d’une part, le plafond annuel des dépenses déductibles est porté de 100.000 à 150.000 euros ;
- d’autre part, les taux applicables sont majorés, passant à 30 % dans les zones de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager (ZPPAUP) et 40 % en secteur sauvegardé.
Alors que le Président de la République a annoncé, dans le cadre du plan de relance de l’économie, sa volonté d’accélérer les investissements en faveur de l’entretien et de la mise en valeur du patrimoine, ces avancées confirment l’importance de ce dispositif fiscal : il constitue en effet un appui essentiel à l’initiative privée, pour assurer la sauvegarde voire la « reconquête » des quartiers historiques ; il s’inscrit également dans les politiques publiques des villes en matière d’urbanisme, de logement et de mixité sociale.
Dans le même sens, le Sénat a supprimé, sur proposition conjointe de la commission des finances et de la commission des affaires culturelles, le plafonnement du régime fiscal en faveur des monuments historiques non ouverts au public. "
La
Gauche dans l'opposition défendait les femmes, c'était avant d'être
aux affaires !
"
La présidente de la Délégation aux droits des femmes du Sénat
déplore la suppression de la demi-part des parents isolés "
" Mme Michèle André (Soc, Puy-de-Dôme), présidente de la délégation du Sénat aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, déplore l’adoption par le Sénat d’un amendement qui prévoit la suppression progressive de la demi-part supplémentaire jusqu’alors accordée aux parents isolés, célibataires, veufs ou divorcés, qui ont élevé seuls leurs enfants.
Les femmes représentent en effet la très grande majorité de ces parents isolés et du fait, notamment, du temps qu’elles ont consacré à l’éducation de leurs enfants, leurs carrières sont le plus souvent incomplètes et moins bien rémunérées que celles des hommes.
La conjonction de ces facteurs explique d’ailleurs, comme l’a montré le récent rapport[1] de Mme Claude Greff au nom de la délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale, que le montant moyen de leur pension de retraite ne représente que 55 % du montant moyen de celle des hommes.
Dans ces conditions, il est tout à fait justifié de leur reconnaître, une fois leurs enfants devenus majeurs, une compensation qui vient prendre en compte le temps qu’elles ont consacré à une activité certes non rémunérée mais cependant indispensable à la société : l’éducation de leurs enfants.
Il faut souhaiter que la commission mixte paritaire permette de revenir sur une disposition qui, si elle était définitivement adoptée, pénaliserait principalement des femmes à faibles revenus." mercredi, 10 décembre, 2008
" Mme Michèle André (Soc, Puy-de-Dôme), présidente de la délégation du Sénat aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, déplore l’adoption par le Sénat d’un amendement qui prévoit la suppression progressive de la demi-part supplémentaire jusqu’alors accordée aux parents isolés, célibataires, veufs ou divorcés, qui ont élevé seuls leurs enfants.
Les femmes représentent en effet la très grande majorité de ces parents isolés et du fait, notamment, du temps qu’elles ont consacré à l’éducation de leurs enfants, leurs carrières sont le plus souvent incomplètes et moins bien rémunérées que celles des hommes.
La conjonction de ces facteurs explique d’ailleurs, comme l’a montré le récent rapport[1] de Mme Claude Greff au nom de la délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale, que le montant moyen de leur pension de retraite ne représente que 55 % du montant moyen de celle des hommes.
Dans ces conditions, il est tout à fait justifié de leur reconnaître, une fois leurs enfants devenus majeurs, une compensation qui vient prendre en compte le temps qu’elles ont consacré à une activité certes non rémunérée mais cependant indispensable à la société : l’éducation de leurs enfants.
Il faut souhaiter que la commission mixte paritaire permette de revenir sur une disposition qui, si elle était définitivement adoptée, pénaliserait principalement des femmes à faibles revenus." mercredi, 10 décembre, 2008
Alpes-Maritimes
et Var
Autoroute
plus chère le 1er février : Escota augmente ses tarifs de +3% à
+5%
Paru
le lundi 26 janvier 2009
Avec l'aval de l'Etat, la société Escota a décidé d'augmenter ses tarifs autoroutiers de 3,20% en moyenne pour les véhicules légers et de presque 5% (4,98%) pour les poids-lourds à compter du 1er février. Cette hausse est supérieure au taux de l'inflation. Escota explique cette augmentation par "la formule contractuelle avec l'Etat, basée sur l'indice des prix hors tabac de novembre 2007 à octobre 2008" et par son effort d'investissement, notamment par les travaux menés en 2008 (comme l'élargissement à 2x3 voies entre Nice-Saint-Isidore et Nice-Saint-Augustin) et par les chantiers à venir en 2009.
(Lire Nice-matin et Var-Matin de ce samedi)
Avec l'aval de l'Etat, la société Escota a décidé d'augmenter ses tarifs autoroutiers de 3,20% en moyenne pour les véhicules légers et de presque 5% (4,98%) pour les poids-lourds à compter du 1er février. Cette hausse est supérieure au taux de l'inflation. Escota explique cette augmentation par "la formule contractuelle avec l'Etat, basée sur l'indice des prix hors tabac de novembre 2007 à octobre 2008" et par son effort d'investissement, notamment par les travaux menés en 2008 (comme l'élargissement à 2x3 voies entre Nice-Saint-Isidore et Nice-Saint-Augustin) et par les chantiers à venir en 2009.
(Lire Nice-matin et Var-Matin de ce samedi)
Rappel
2007
Autoroutes,
augmentation des péages au 1er février 2007
Au 1er février 2007, les tarifs de péage ont augmenté en moyenne de :
Au 1er février 2007, les tarifs de péage ont augmenté en moyenne de :
+
5,5 % pour ALIS ( Société autoroute de liaison Seine-Sarthe) -
+
2 % pour ASF (Société des autoroutes du sud de la France) -
+
1,21 % pour ATMB (Société tunnel routier sous le Mont-Blanc) -
+
1,81 % pour ESCOTA (Société des autoroutes Estérel, Côte d’Azur,
Provence, Alpes )
+
1,07 % pour SFTRF(Autoroute de la Maurienne, Société française du
tunnel routier du Fréjus)
Vertus
en politique, valeurs démocratique,
Elles
sont toutes dévoyées, une grossière erreur.
L'autorité
factice manque de sémantique.
Le
peuple ne croit plus dans tous ces politiques !.
[...]
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