À
la Présidentielle, les candidats fleurissent
Les
pages de journaux et les télés complices.
Il
faut couper dans le vif, surtout en politique.
Un
ex président, un critique dramatique,
Survivant
de Tobrouk, il assomme ses lascars.
Vendrait-il
père et mère, n'est-ce pas Michel Audiard ?
Ses
dialogues sulfureux sont bien dans l'air du temps.
Il
oublie les sans dents, « Merci pour ce moment » !.
Un
petit florilège qui colle au personnage.
Répliques
universelles vont vous mettre à la page :
«
Si on t’avait foutu à la lourde chaque fois que t’as fait des
conneries, t’aurais passé ta vie dehors. »
«
Plus t'as de pognon, moins t'as de principes. L'oseille c'est la
gangrène de l'âme.» Des pissenlits par la racine
«
Deux milliards d'impôts ? J'appelle plus ça du budget, j'appelle
ça de l'attaque à main armée.» La chasse à l'homme
«
C'est mon papa, moi, que je vais retrouver. Actuellement, il est à
Vichy mon cher père. Ah ! c'est un homme qui a la légalité dans le
sang. Si les chinois débarquaient, il se ferait mandarin. Si les
nègres prenaient le pouvoir, il se mettrait un os dans le nez. Si
les Grecs... oui enfin, passons !». Taxi pour Tobrouk
«
Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon. »
Merci
Michel Audiard.
Alain
Février, jeudi 25 août 2016
Embargo
de la Russie, l'Ukraine casse les prix.
Aujourd'hui,
c'est le lait, le litre à onze centime,
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