«
Pour être plus qu'un roi, tu te crois quelque chose »
Dans
Cinna, acte III, Scène 1, maxime, Euphorbe.
Pierre
Corneille, dramaturge, avocat, bouche close,
Cet
académicien, hors norme, de premier ordre,
Aurait-il
approuvé « Nuit Debout », l'overdose
De
ces ignobles injures, prémices du grave désordre.
Place
de la République, théâtre du gauchisme,
Ils
cherchent une tribune, une agora publique.
Des
médias à l'affût de troubles et d'incivisme,
Ont
trouvé leur bonheur sur cette place publique.
Le
Front républicain voit à travers leur prisme,
Les
effets désastreux de toute leur politique !.
Élites
de la Nation n'ont plus de solutions
Anonymes
d'internet se jouent de leurs actions.
Des
citoyens, sans nom, réclament la transparence.
Courageux
anonymes, ils entrent en résistance ?.
Des
groupes d'idéologues, anarchistes, socialistes
Débitent
leur monologue, des propos fantaisistes.
Ne
soyons pas naïfs. Des tribuns plébéiens
Ont
trouvé un moyen de se faire remarquer.
Ils
dénoncent le système devant les citoyens,
Tout
en lorgnant un siège dans les deux Assemblées.
Cette
réplique de Maxime n'auraient pas pris une ride,
Merci
à Pierre Corneille d'avoir lâcher la bride :
«
Ils servent à l'envi la passion d'un homme
Qui n'agit que pour soi, feignant d'agir pour Rome,
Et moi, par un malheur qui n'eut jamais d'égal,Je pense servir Rome, et je sers mon rival ! »
Qui n'agit que pour soi, feignant d'agir pour Rome,
Et moi, par un malheur qui n'eut jamais d'égal,Je pense servir Rome, et je sers mon rival ! »
Alain Février, mardi 19 avril 2016
Emile
de Girardin « gouverner, c'est prévoir
Et
de ne rien prévoir, c'est courir à sa perte »
François
Hollande a dit « gouverner c'est choisir ».
Se
soumettre à Bruxelles, pas d'autre échappatoire,
Il
n'est pas très à l'aise avec la croissance verte.
Politique
hollandaise, c'est de laisser courir.
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