Calvaire de PONTCHÂTEAU en 44
Pour
entrer dans la gloire, il faut savoir souffrir.
Cette
semaine liturgique, appelée semaine sainte,
Cette
souffrance d'un homme en fera un martyr.
Procession
des Rameaux, avant-garde des craintes
D'une
passion, d'un calvaire, annonce le coup fatal.
Le
lynchage public, les crachats, les insultes,
Jésus
est bien conscient, victime de leur cabale.
Il
traînera sa croix, sans aide, son peuple exulte !.
L'ingratitude
d'un peuple se fait toujours sentir
Dans
toutes nos sociétés qui renient leur passé.
C'est
la fuite en avant au royaume des fakir.
L'Europe,
tour de Babel, elle a tout saccagé !.
Le
tableau d'Andréa Mantegna "La crucifixion et le calvaire".au
Musée du Louvres
_________________________________________
Pour tous les catholiques,
cette semaine de Pâques,
Leur rappelle les
souffrances endurées par Jésus,
Le reniement de Pierre,
trahison de Judas,
La peur du Grand-prêtre,
Jésus devant Pilate,
Les mensonges d'un scribe,
ses nombreuses remarques :
«Cet homme met le
désordre, il prêche le refus
De payer des impôts et
d'être un renégat.»
Tu es le roi des juifs,
lui demanda Pilate
Jésus lui répondit, je
suis galiléen
Je suis le Christ-Roi qui
fait quelques miracles.
Pilate s'en lave les mains
; il dépend des romains.
Hérode sera son juge, qui
le condamnera
A subir un calvaire, une
haine implacable,
A mort criait la foule, un
supplice inhumain,
Il portera sa croix
jusqu'au mont Golgotha.
Que ce vendredi saint soit
pour tous les chrétiens,
Un rappel des valeurs,
fondement de la morale
Trop souvent piétinées
dans notre vie de chien.
Ce lavement des pieds, un
acte peu banal
Un signe d'humilité donné à ses apôtres
La veille de sa mort, il pense encore aux autres.
Un signe d'humilité donné à ses apôtres
La veille de sa mort, il pense encore aux autres.
Alain Février, dimanche 20 mars 2016
Bipolarisation
et Front républicain,
Principaux
assassins de la démocratie,
Deux
partis politiques se partagent le butin,
Les
citoyens Français, esclaves de ces partis.
L'éthique
et la morale appartiennent au passé.
Ces
élus, sans honneur, ont tué la République.
Députés,
sénateurs, ils jouent les indignés ;
Journalistes
et médias, sous le feu des critiques.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire