«
Messages aux guignols de l'info »
Les
archives du Canard, quatre juillet deux mille sept,
Chou-chou
de Sarkozy, remake sous Charles sept
Candidat
UMP, mal aimé de Fillon,
En
parlait en ces termes « Martinon, petit con ».
Pourquoi
cette référence, est-ce bien de l'insolence ?.
Un
peu d'outrecuidance, sortir cette référence,
Juste railler ces gens qui explosent en plein vol.
Je
suis un pourfendeur, ne crois pas en Éole.
David
Martinon peut vous servir d'exemple,
Dans
cette France qui cultive une bêtise sans exemple.
Alain
Février, vendredi 23 octobre 2015.
Sources Canard
enchaîné, histoire Charles VII
Ce
logo du FN pour dénoncer la haine
De
ces parlementaires mouillés dans les affaires,
Mensonges
et calomnies et toutes leur mise en scène,
Le
peuple a tout compris, répugne leur savoir-faire !.
Communiqué
de Presse de Marine Le Pen
Présidente
du Front National
Monsieur
Pujadas, on ne m'impose rien Je ne me rendrai pas ce soir à cette
mascarade qu'est devenue depuis quelques heures l'émission de M.
Pujadas "Des paroles et des actes".
En
effet, alors que M. Pujadas et son équipe ont lourdement insisté
pour que j'accepte leur invitation, et que la structure de l'émission
était calée, comme c'est la tradition, depuis déjà plusieurs
jours, un mail adressé à mon attaché de presse à 23h40 cette nuit
nous apprenait que, se soumettant aux exigences posées hier par MM.
Cambadélis et Sarkozy, M. Pujadas rallongeait l'émission (déjà
très longue) d'un débat sur les régionales de 45 minutes avec MM.
Bertrand et de Saintignon, excluant d'ailleurs sans raison les autres
candidats à cette élection.
Confrontée
à cette méthode cavalière et méprisante, j'ai dans un esprit de
conciliation proposé alors que ce débat régional se substitue au
débat politique déjà prévu avec les représentants de l'UDI et du
PS. Avec une arrogance inouïe, M. Pujadas a cru pouvoir, pour la
deuxième fois, me mettre devant le fait accompli, ce qu'il a admis
lui-même ne jamais faire pour les autres responsables politiques.
Parce
que je représente des millions d'électeurs français qui ont droit
à la considération et au respect du service public, à moi, M.
Pujadas, on n'impose rien. Surtout quand ces changements de dernière
minute visent à obéir aux caprices du système UMPS, système qui
n'a pourtant pas à se plaindre, trustant déjà près de 95% du
temps d'antenne politique dans le pays.
Il
me tarde plus que jamais de débattre avec tous ceux qui le voudront
bien, et d'abord avec mes adversaires aux élections régionales en
Picardie-Nord-Pas-de-Calais, mais dans des conditions plus sereines
et sur d'autres plateaux, comme c'est déjà prévu très
prochainement.
L'amateurisme
et la servilité de M. Pujadas ont transformé aujourd'hui
l'organisation de cette émission en véritable pantalonnade. Y
participer dans ces conditions serait indigne du respect dû aux
Français, décidément mal traités par leur service public de
télévision qu'ils financent pourtant par leurs impôts.
Je
me tiens à la disposition des trois Français initialement invités
à me questionner et à qui M. Pujadas comptait désormais royalement
accorder 5 minutes de débat chacun, pour répondre à leurs
légitimes préoccupations.
Se
faire respecter est le début de la reconquête démocratique par le
peuple français.
Consulter aussi liens :
Ajout
du vendredi matin :
Liberté
d'expression selon la tête de pipe, France 2 et C.S.A, ce sont des
habitués. http://zen49.blogspot.fr/2015/10/jeudi-soir-sur-france-2-le-spectacle.html
[...]
Les
téléspectateurs sont encore les victimes
D'une
mafia médiatique et surtout politique,
Qui
a mené la France au bord de l'abîme.
Le
peuple en a soupé de toutes ces intrigues.
[…]
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