Le
Coq, l'âne et les poules aux oeufs d'or
Un
fermier corrézien, véritable visionnaire,
Ne
ménage pas sa peine pour cultiver ses terres.
Les
récoltes sont bonnes et les silos sont pleins.
Des
idées plein la tête, il se voit millionnaire.
Sa
nuit est agitée, il est tombé par terre.
Réveil
au chant du coq, toujours le même refrain.
A
demi éveillé, il aperçoit ses poules.
Il
retrouve ses esprits, la fortune à ses pieds.
Appelle
le charpentier et la coopérative,
Ne
perd pas un instant, il n'y aura pas foule,
A
Tulle et à Ussel, chez tous ces volaillers.
Un,
dix, vingt poulaillers, les pondeuses s'activent.
Les
oeufs sont ramassés par tous ses ouvriers,
Il
amasse ses louis d'or. Embauche un responsable.
Qui
l'a rendu frivole, les poulettes de Brive ?.
Lui,
le fermier de Tulle, le riche volaillier,
Courtisé
à Paris par une cour de minables,
Il
a son restaurant et sa table pour convives.
L'entretien
d'une basse-cour dans une capitale,
Les
poules sont hors de prix, le portefeuille se vide.
Laisser
ses poulaillers sans aucune surveillance,
Crise
des gallinacées, conséquences fatales,
Mettent
un terme au beau rêve de ce fermier cupide.
Personnel
licencié pour cause d'outrecuidance.
Ce
fermier débauché retrouve son village,
Ses
bâtiments sont vides, il lui reste Colblanc,
C'est
le nom de son âne qui rogne quelques herbes.
Il
appelle Colblanc qui se couche sur le flanc.
Lui
confie à l'oreille, qu'il n'a pas été sage.
Ses
folies parisiennes du boulevard Malesherbes,
Et
toutes ses maîtresses, elles ont brisé sa vie.
Passer
du coq à l'âne, il faut que je te dise
Colblanc,
tu es un âne et mon fidèle ami.
Le
col blanc parisien, souvent il te méprise.
Alain
Février
Zen-fiatlux.blogspot,
le 28 janvier 2014
Référendum
de 2005 NON ~~ 55%
XXX "[...] On ne gouverne pas sans consentement du peuple.". Dimanche prochain 25 mai, choisissez votre avenir
Dites
NON à cette Europe et au diktat allemand
La
justice socialiste, un vrai serpent de mer
Pour
les gouvernements et les parlementaires,
Si
l'on parle du pénal, plus de place en prison.
Développement
et déclin, retour à l'âge du fer,
Pour
tous les salariés et, même les militaires,
Leur
unique recours, se mettre au diapason .
Des
Français oubliés, plus maîtres de leur destin.
L'injustice
fiscale, elle atteint des sommets
Dans
cette France soumise au diktat de Berlin.
L'ingérence
de l'Etat qui agit par décret
Inquiète
investisseurs, même les plus malins.
Des
annonces incongrues pour calmer l'opinion
Font
leur apparition à dix jours d'un scrutin.
Territoires
démantelés provoquent la désunion,
En
deux ans de pouvoir, les français écoeurés,
Epuisés
fiscalement, l'Etat fait marche arrière
Sur
les petits revenus qu'il avait imposé !.
Politique
arriviste conduit à la misère.
S'obstiner
à voter pour l'Europe financière
Qui
suscite corruption et discrimination.
Une
monnaie unique, abandon des frontières,
Les
politiques divergent selon leur ambition.
Europe
contradictoire, Kossovo et Ukraine,
Le
peuple souverain n'a plus son mot à dire
L'Europe
fédéraliste, les peuples la refusent.
L'Europe
est désuni, l'Otan qui tient les rênes.
Cette
situation ad hoc peut faire craindre le pire
Des
milliards de dollar, personne ne les récuse,
Des
aides financières promises par l'europe,
Cette
manne financière pour le peuple ukrainien,
Elle
est versé à qui, aucun clan légitime !.
Poutine,
en ligne de mire, pas encore un Pol Pot
Et
l'Europe impuissante, joue les politiciens.
Comme
les américains possèdent les paradigmes ;
L'Europe
diplomatique est réduite au soutien.
Elle
n'a plus les moyens, elle est dans le pétrin.
Zen-fiatlux.blogspot,
le samedi 17 mai 2014
Hymne
à la bêtise et au sectarisme médiatique et politique
Parlementaires,
élus, aux discours de l'esbroufe
L'image
de la France, cette gérontocratie,
Qui
s'accroche au pouvoir, pas que pour la bonne bouffe.
Ils
se disent défenseurs de notr' démocratie
Comment
peut-on les croire, quand on refuse les urnes
Prétexte
fallacieux, Assemblée moutonnière.
De
familles politiques avides de nos thunes,
Majorité
dites-vous, juste dans l'hémicycle !.
Démocrates
socialistes, noeuds à la boutonnière
Arborés
si fièrement, signe d'une fin de cycle,
Jeunes
et moins jeunes, âgés, en âge d'aller voter,
Ne
vous résignez pas aux réseaux dépensants
L'argent
de la Patrie, gagné en combattant.
Pascal
était chrétien et mathématicien,
Qualifiait
l'être humain, plus faible que la matière,
De
fragile roseau, mais un roseau pensant.
Personne
n'est éternel dans ce monde de défiance.
Entendre
constamment des principes de morale
Quand
on a négligé, soi-même, le bien penser,
En
un an d'hollandisme, Pascal, le physicien
S'il
était de ce monde, dirait à sa manière
Qu'il
est très dangereux de blesser les consciences
De
la population qui a perdu confiance.
Les
élections sont là pour remettre du sens
A
notre république qui a touché le fond
Alain
Février
Zen-fiatlux,
le 29 mai 2013
Grèce,
toi la responsable de ces calamités,
Tu
as fait de la France, un pays
d'Aphrodite.
Dans
la mythologie, un chaste Bygmalion,
Choisit
le célibat et les statues mythiques
Ennemi
du mariage pour cause de déception
De
femmes chypriotes, sorcières ou prostituées.
En
ce début de siècle, l'Europe est à la peine,
Les
partis installés rivalisent d'arrogance
Contre
Marine Le Pen et tous les populistes.
Ces
partis gouvernants, véritables sans-gêne,
Gaspillent
l'argent public, ils ont pillé la France.
Le
peuple est révolté contre ces arrivistes.
Tous
leurs prétextes sont bon pour se faire du pognon.
Ils
ont réponse à tout, ils mentent effrontément.
FN-R-Bleumarine
sont de loin, le plus sain.
Des
partis politiques qui respectent la nation.
Le
peuple l'a bien compris, exprime son sentiment.
Vous
faites plus d'illusion, Bleumarine son
destin.
Zen-fiatlux.blogspot,
le 28 mai 2014
Référendum
des grecs, il a sonné le glas
D'une
Europe monétaire génératrice de dettes.
Les
eurocrates nantis avec leur bla-bla-bla,
Le
traité de Lisbonne est au ras des pâquerettes
Une
campagne médiatique partisane et ciblée
Des
politiques français aux propos insultants,
Les
grecs n'ont pas failli contre l'austérité
Référendum
« serré », coude à coude constant,
La
honte pour les sondages, Tsipras plébiscité,
Seul,
canard corrézien, Pouic-Pouic, l'intelligent
A
encore eu raison avec soixante pour cent.
La
manipulation, la règle des sondages,
La
pression médiatique, les mensonges politiques,
Ils
deviennent ridicule dans
ce violent naufrage.
Référendum
pour tous, ce serait une logique.
Alain Février, le lundi 6 juillet 2015
Zen-fiatlux, zen49.blogspot.
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