Au
sommet de l'ÉTAT, dans nos deux Assemblées,
Les
costumes et cravates n'ont qu'un mot à la bouche,
Il
faut tout réformer ; Eurocrates sont pressés !.
Les
lois et les décrets sont servis à la louche.
Leur
efficacité, elle reste à démontrer.
Montrer
son désaccord, ces élites prennent la mouche.
Qui
commande la FRANCE, ce sont les étrangers,
Immigrés,
émirats et les allemands de souche ?.
Tous
nos Morts pour la France, ils ont été bafoués.
Les
patriotes Français vont ressortir les fourches.
Dans les années
cinquante, nos parents, grands-parents
Se sont saignés les
veines pour entretenir leurs terres.
Ils avaient un respect
pour le travail bien fait.
L'entretien des prairies,
les labours dans leurs champs
Avec une paire de bœuf,
un brabant d'avant-guerre,
Un attelage en ligne et
deux chevaux de trait,
Les campagnes françaises
avaient beaucoup d'allure.
Rescapés des stalags,
Travail obligatoire,
Courageux paysans, élevés
à la dure,
Ils méritent le respect
pour toutes ces années noires.
Aux jeunes générations
qui manquent d'assurance
Devant tant d'insouciance
de nos gouvernements,
Vous n'avez guère le
choix. Soit vivre en alternance
Ou soit être assisté
pendant un certain temps !.
Bousculer les principes,
n'en penser pas un mot
D'une nouvelle société,
terre promise pour demain.
Ces eurocrates nantis
n'assument pas leur propos.
Cette Europe financière,
elle vous a lié les mains.
Alain
Février, mardi 28 juillet 2015
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1 commentaire:
" L’Allemagne en 10 ans a dégagé un surplus commercial de plus de 1000 milliards d’euros sur ses partenaires de la zone euro. Les industries françaises et italiennes sont écrasées comme l’armée française en juin 40, contraintes de capituler puisqu’elles ne peuvent plus dévaluer leur monnaie pour éviter la déroute. Les Allemands ont une seule faiblesse : la démographie. A court terme c’est un atout puisque les jeunes ne se pressent pas à leur pôle emploi et que les femmes travaillent moins que chez nous. Mais en dépit de l’excellence de l’apprentissage, des secteurs manquent déjà cruellement de main d’œuvre. La solution existe ! Elle parle espagnol, italien, grec, portugais, demain français. Elle accourt déjà dans les instituts Goethe pour apprendre la langue de ce grand admirateur de la France et de Napoléon. A l’époque les Allemands nous appelaient la grande nation ! Ils nous appellent toujours ainsi, mais l’admiration craintive a tourné à la dérision."
Eric ZEMMOUR via Twitter
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