Photo captée sur twitter
Appelons
les choses telles qu'elles sont !
«
Quand je n'ai rien à dire, je veux que ça se sache »
Comme
Raymond Devos, je parle pour ne rien dire !.
Apprendre,
lire et compter, maîtrise indispensable
Pour
comprendre, accepter, avec l'esprit critique,
L'histoire
de son pays, d'où l'on vient où l'on va.
Notre
langue française, elle n'est pas recyclable.
Chaque
mot a un sens, une histoire pragmatique
Que
tous les linguistiques brocardent en bla-bla-bla
«
Ce qui se conçoit bien, s'énonce clairement
Et
les mots pour le dire arrivent aisément »,
Citation
de Boileau oubliée trop souvent
Par
nos Institutions et nos gouvernements.
Vos
discours emphatiques, votre grandiloquence
Sont
un vrai handicap pour en saisir le sens !.
Conception
des programmes sans aucun état d'âme,
Ce
n'est pas une nouvelle, c'est une confirmation
Que
nos têtes pensantes mériteraient un blâme.
Comment
faire évoluer toute cette Institution,
Qui
n'a qu'une seule vision, principe d'égalité ?.
Le
désir de comprendre et le goût du savoir
Ils
ne peuvent s'acquérir dans notre société,
Qu'avec
une adhésion au sens du devoir.
Un
enfant d'immigré, une communauté,
Qui
parle à la maison une langue étrangère,
L'enfant
est prisonnier de la langue imposée.
C'est bien lui la victime dans le système scolaire.
Alain
Février, zen-fiatlux, zen49.blogspot.
Vendredi
15 mai 2015, 7 h 20
Chers
Académiciens, pseudo-intellectuels,
Vous
êtes méprisés par un gouvernement.
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