La
France défigurée, les partis délabrés,
Le
peuple est opprimé, totalement oublié.
C'est l'équinoxe d'automne, où l'on fait de l'intox.
Dans
ce siècle d'eurocrates, d'ironie socratique,
L'Europe
est leur lubie, les peuples laissés au box
Zone
euro, leur destin, un choix technocratique.
Vision
psychédélique des hommes politiques,
Moutonniers
de Bruxelles, d'un paradis fiscal,
Sous
le joug d'oligarques au pouvoir tyrannique,
Qui
se moquent totalement de la pression fiscale.
Notre
France laïque, elle a du plomb dans l'aile,
Politique-Religion,
un mélange détonant.
Les
coupables seraient-ils calfeutrés à Bruxelles,
La
mondialisation, leur unique argument.
La
faillite de la France, c'est la réalité.
Cadeaux
électoraux et promesses intenables
Pour
le secteur public et ses enfants gâtés,
Retraités,
salariés, seriez-vous les coupables ?.
La
désinformation dans les médias publics
N'est
plus à démontrer, c'est démoralisant.
Consultation
du peuple, refus des poltiques,
Ils
seraient désavoués et virés sur le champ !.
Le
bon sens populiste s'oppose à ce système.
Le
pouvoir cadenassé par une bande d'énarques
L'électeur
réagit, refuse leur stratagème ;
À
la présidentielle, il reprendra ses marques.
Début
du nouveau siècle accumule les erreurs.
Monnaie,
pensée unique, terreur des islamistes,
La
France incompétente aux mains de dictateurs
Qui
ont ruiné leur peuple, merci les socialistes !.
Qui
a mis la pagaille dans le monde musulman.
Dans
une France laïque et sa culture française,
C'est
le Conseil Français du culte musulman
Pensé
par Chevènement, activé par Vaillant,
Fondé
par Sarkozy, ministre de l'intérieur ?.
Sitôt
sa création, émergences d'antithèses,
Querelles
de pouvoir, personne ne le dément.
Unions,
Fédérations, critiquent leurs dirigeants.
En
douze ans d'existence, qui sont les diviseurs,
Responsables
politiques, Imams envahissants ?.
Alain
Février, vendredi 30 septembre 2016
"
Dans aucune circonstance de ma vie , je ne plierai,
Mon
langage et mes actions au gré des partis,
Ni
pour obtenir leurs faveurs, ni pour sauver ma tête."
Louis-Marie
de La Révellière-Lépeaux-ANGERS