"Faucon" se le disent, Faudrait pas amuser le tapis, encore moins se prendre les pieds dans le Tapie !.
" De la discussion jaillit la lumière " dit le proverbe
Peut-on encore citer Socrate, serait-ce prendre un risque discriminant aux yeux du législateur ?.
Un adage que l'on prête à Socrate : " De deux maux, il faut choisir le moindre " ( pour expliquer pourquoi il avait épousé une femme de très petite taille ) !
Aucun propos, aucun discours..., rien n'est parfait pour chacun d'entre nous. Parfois, il faut mettre en exergue des analyses de personnes avisées et très compétentes.
Tolle, lege
LUNDI 23 MAI 2011
LE FMI ET SES FRASQUES
Nous allons évoquer les frasques du FMI, mais ce n'est pas forcément celles de DSK dont les médias nous abreuvent à longueur de journée. Il reste cependant qu'un observateur attentif et subtil peut probablement trouver des liens entre tous les phénomènes.
Pour sauver en quelque sorte DSK, la presse, les médias et tous ses anciens amis chantent les louanges de son action à la tête du Fonds Monétaire International (FMI) ; nous ne les suivrons pas sur ce chemin et à entendre dans la rue les peuples irlandais, portugais et grecs entre autres nous ne sommes pas seuls.
UN STATUT EXTRAVAGANT
D'abord, il est absolument nécessaire, en citant des chiffres que la presse a publié, de rappeler le formidable prélèvement que cette institution internationale opère, pour ses frais de fonctionnement, par la force fiscale sur le monde entier. Citons quelques chiffres concernant le président déchu. Il touchait 500 000 euros par an.
Son indemnité de séparation se monte à 250 000 $. Sa retraite de patron de l'institution lui garantit environ 80 000 $ par an jusqu'à la fin de sa vie. Ces sommes pour être comparées à d'autres doivent être affectées d'un coefficient multiplicateur pour tenir compte d'une exonération totale ou partielle d'impôt et du fait que c'est pour l'argent de poche, puisque que l'essentiel de la vie courante et bien au-delà fut assurée par l'institution. Comme il est de règle dans les dinosaures internationaux le statut abusif du sommet se répand en ondes bienfaisantes sur tous les échelons inférieurs. La bureaucratie du FMI compte 2700 employés ! Nous ne connaissons pas le coût total des frais de fonctionnement et probablement la moitié de ce chiffre doit est considéré comme un enrichissement sans cause pour les bénéficiaires.
Il est une règle absolue au sein de la dictature mondialiste, dont ce FMI n'est qu'un des multiples visages : plus les organismes sont importants, moins il y a de vrais contrôles et plus les fuites d'argent s'aggravent ; les titulaires vivent à l'abri dans une sorte de bulle financière et juridique dont ils ne cherchent surtout pas à sortir. En témoigne la bataille homérique pour se partager entre les nations les grandes fonctions internationales bataille déjà engagée pour le FMI où les politiques de chacun des pays trouvent le moyen de s'échapper en quelque sorte par le haut.
Les analyses ci-dessus s'appliquent peut-être à mille « bourreaucraties » internationales exerçant à un titre ou à l'autre la dictature mondialiste. Quelles sont les personnes qui souffrent le plus de cette situation scandaleuse ? Ce sont les pauvres de toute la planète, car par répercussions successives la force fiscale sur laquelle repose ces édifices fait souffrir principalement les pauvres. La participation du démissionnaire à cette entreprise ne peut pas du tout être, pour ce seul premier motif, considérée comme positive contrairement aux déclarations de la presse et des médias et même si bien d'autres dans le monde se partagent ainsi injustement le butin international public
LES ACTIONS ENGAGEES
Encore, faut-il examiner cependant si les actions engagées sous son égide ont été positives.
Le FMI a apporté son concours en corrélation avec les États à des politiques de relance dans un grand nombre de pays. Or ces politiques sont véritablement catastrophiques et ne font que propager et prolonger la crise économique. En effet elles reposent toutes sur l'intervention des États dans l'économie ce qui est tout à fait contraire à la liberté économique absolument nécessaire à la création de richesse. Cette intervention implique des impôts et des endettements croissants. L'objectif annoncé découle de l'idée qu'après le détour d'un certain nombre d'années les PIB augmenteront et pourront ainsi résoudre les diverses calamités que les mêmes États ont créées par leurs propres activités multiples et destructrices. C'est évidemment un faux raisonnement. L'observation quotidienne montre que les pays européens et en particulier la France, championne des politiques de relance, voient leurs économies traînasser dans une médiocrité qui ne s'arrête pas.
Ensuite, il est permis de constater qu'avec l'aide des diverses banques centrales le FMI a maintenu le taux de l'argent à un niveau extrêmement modeste ce qui a conduit à créer de la fausse monnaie et à engendrer en particulier dans beaucoup de pays des bulles immobilières. Or il est un principe sur le plan économique : le capital doit être payé à un taux normal permettant une allocation adaptée des ressources, ce qui ne fut pas le cas. Il en est résulté un grand nombre de calamités ayant frappé entre autres plusieurs pays comme l'Irlande, le Portugal et la Grèce.
Ayant été le pyromane, le FMI a-t-il été un bon pompier ? Pas du tout. En effet, les recettes appliquées l'on été sur la base d'aides financières et les milliards ont valsé : un jour la Grèce a besoin de 60 milliards et le lendemain cela n'est déjà plus suffisant. Les pyromanes ont continué à attiser le feu. Puisqu'il s'agit de la Grèce, il paraît que la nouvelle aide pourrait se faire en échange d'une hypothèque sur de nombreux biens comme les sites olympiques construits en 2004. A quand la vente de l'Acropole qui, au demeurant, n'est qu'un temple dédié à une idole !
L'arrosage avec de la fausse monnaie s'accompagne généralement de l'exigence d'une diminution du déficit public d'une façon drastique et c'est là qu'apparait un autre défaut. Cette diminution est imposée avec des mesures très dures pour les populations comme par exemple le gel des salaires, le gel des retraites, voire des diminutions, le rabotage des avantages sociaux, du chômage en accroissement et des aggravations de la fiscalité. Dans la plupart des pays visés ces programmes sont propres à détruire la richesse et pas du tout à la développer dans l'intérêt des populations. Ainsi s'explique que dans les divers pays ces populations à juste raison protestent violemment dans la rue contre des mesures qu'elles ne comprennent pas.
LES PREDATEURS PUBLICS
Enfin, aucun sacrifice personnel important n'est demandé aux prédateurs publics qui dans ces pays comme ailleurs sont uniquement attachés au maintien de leurs propres privilèges si extravagants soient-ils, le reste n'étant vraiment pas leur souci.
Une des caractéristiques de la dictature mondialiste en construction très avancée est la solidarité sans faille entre les manipulateurs du sommet. Ce tour de piste dans le prétendu génie du FMI et de son président déchu le montre abondamment. S'il semble abandonné par ses pairs, il fut encensé par eux dans diverses fonctions et pendant très longtemps.
Au début de cette analyse, nous évoquions des liens subtils entre les diverses catastrophes au sein du FMI. Ce n'est pas si subtil : la planète entière était au courant de tout !
Ces manipulateurs du sommet vivent dans une sorte de bulle psychologique et leur devise semble se formuler ainsi : « prédateurs de tous les pays, unissez-vous ».
Michel de Poncins
http://diaconescotv.canalblog.com/archives/2011/05/23/21208882.html
Chut ! Shut up !
LA LIBERTE D'EXPRESSION
http://zen-fiatlux.blogspot.com
Courriel : fevrieralain@hotmail.fr
Intervention de M. Yves-Marie Laulan, président du Cercle des Libertés républicaines [1] au colloque sur la liberté d’expression organisé le 11 mai 2011 à l’Asiem par le Cercle des Avocats libres, le Cercle des Libertés républicaines, et le Collectif parlementaire pour la Liberté d’expression
Gambetta disait en 1872 : « La France n’a jamais demandé que deux choses à un gouvernement : l’ordre et la liberté ». La France, de nos jours, a l’ordre, enfin, à peu près. Mais elle a perdu la liberté ou est en passe de la perdre. Je parle de la liberté de parole, qui conditionne la liberté d’opinion, laquelle commande la liberté tout court, celle qui caractérise une démocratie. De ce point de vue, la France a clairement emprunté un chemin inquiétant, celui qui conduit à une pensée totalitaire.
Comment en est-on arrivé là ? Le processus est simple. Il s’agit de l’action menée depuis des années par un certain nombre d’associations prétendument anti racistes, qui détournent à leurs fins propres les dispositions de lois conçues à l’origine en toute bonne foi par le législateur. Il s’agit notamment de l’article 8 de la loi Pléven qui les autorisent à engager à tout propos l’action publique, et aussi et surtout des dérives de la jurisprudence concernant l’interprétation à donner aux articles des lois Gayssot et Pléven , notamment en ce qui concerne les notions « d’incitation » à la « discrimination et à la haine raciale », notions floues et vagues à souhait, qui peuvent donner lieu à toutes les interprétations, même les plus fantaisistes selon l’humeur du moment.
Dans l’état actuel de la jurisprudence, tout prétexte, même le plus futile, par exemple,....
La suite sur ce lien :
http://www.enquete-debat.fr/archives/intervention-de-m-yves-marie-laulan-au-colloque-sur-la-liberte-d%e2%80%99expression/