vendredi 13 juillet 2012

Une Télé locale et une pisicine ludique pour le maire 2, la Rocade sud remise aux calendes grecques, irresponsabilité politique !.


« Angers. Le projet de la rocade Sud abandonné »

" La rocade tant attendue ne se fera pas. La grande majorité des élus de l’agglo angevine ont décidé d’abandonner le projet.
Pas de rocade, donc mais un contournement de la ville des Ponts-de-Cé et « une amélioration » d’un certain nombre d’échangeurs (Sorges, Carrefour « Mignon », La Monnaie…).
Marc Goua, député-maire de Trélazé, et Jean-Claude Antonini, président d'Angers Loire Métropole, en total désaccord sur ce dossier, ont ferraillé...".Actualités Angers, maville.com 12/07

« La société « Angers Loire Télévision » est créée »

"Une nouvelle chaîne de télé dans l’agglomération angevine en 2012-2013 ? C’est bien ce que souhaitent la majorité des élus de l’agglo. Ils ont voté hier la création de la société d’économie mixte « Angers Loire Télévision ». ALM détiendra 28,5 % des parts, tout comme la ville d’Angers. Les autres actionnaires ne sont pas connus.". Actualités Angers, maville.com. 12/07

Monsieur Frédric Béatse devenu adjoint au Conseil régional et puis, en janvier 2012, maire N°2 par surprise, son ascension rapide lui aurait-il fait manger son chapeau ?.
Ce que disait Frédéric Béatse dans Ouest-France, la veille du premier conseil municipal délocalisé à Monplaisir.
" Frédéric Béatse, adjoint et conseiller général PS, réagit à la prise de position de Christophe Béchu sur les berges. "Les propos du chef de l'UMP départementale sur le devenir des berges de Maine sont proprement sidérants : il refuse tout simplement que nous ouvrions le débat, tout comme il a refusé la liaison sud !. Nous comprenons mieux pourquoi le conseil général s'intéresse si peu au territoire d'Angers. Tout est bon pour servir l'ambition de Christophe béchu...".


 J.C. Antonini, Maire 1           Frédéric Béatse Maire 2
                                                    (janvier 2012)
Hier soir à l'Agglo, Jean-Claude Antonini, toujours président « réappointé » de l'Agglomération angevine et docteur en médecine généraliste, baptisé (dans un autre mandat) « monsieur antibruit » , il a été maire d'Angers jusqu'en janvier dernier, non sans démissionner plus vite que son ombre !, il aura démontré son pouvoir de convaincre des élus «convaincus» qu'ils ne faisaient pas le poids face à Angers-Loire Valley !.

Il faudra s'en souvenir de cette conclusion «historique» du président d'ALM, monsieur Jean-Claude Antonini : [ Il ne faut pas oublier que les premières études et projets de cette rocade sud datent d'avant 1977, début du règne du roi Jean Monnier] « Tous les cinq ans, on réétudiera la pertinence de cette rocade. En attendant, on va geler les 500 hectares du triangle horticole», a affirmé Jean-Claude Antonini, maire 1.

Après les déroutes financières de TV10 et d'Angers7, voilà la nouvelle lubie du maire 2, la création d'une nouvelle télé locale « Angers Loire Télévision » !. Au moment où les chaînes privées nationales constatent la baisse des recettes publicitaires, les élus angevins veulent nous faire croire que cette A.L.T., télé clientèliste pour 2014 !, elle sera financée à hauteur de 43% par de l'actionnariat privé et à hauteur de 57% par les contribuables !. Jamais deux sans trois dit le dicton, un troisième fiasco financier en perspective pour les contribuables !.

Angers Loire Valley et Angers Loire Métropole vont donc pouvoir débiter leurs fadaises à la sapidité électoraliste sur ce vecteur de l'information « imposé » et financé par les impôts des angevins » a été imposé par le maire 2 d'Angers.

Les élus écolos ont gagné à Angers et perdu à Nantes !. Peut-on envisager, déjà, qu'en 2014, les élus politico-écolonomiques angevins seront un boulet pour le maire 2 ?.
Si l'on suit leurs raisonnement, les projets écolos ne visent qu'à créer des édifices et des emplois à 
non-valeur ajoutée !. Ils creuseront encore plus le déficit des collectivités locales.

Voici quelques pages pour les nostalgiques "sidérés" :

Souvenez-vous, vers la fin de mandat de maire de Jean Turc (1976), ANGERS pouvait se vanter de son tissu industriel. Pendant son premier mandat de maire, Jean Monnier a affronté la crise des transports urbains, la Studa ( déroute financière et sociale à consulter sur le bloc-notes des journaux locaux : Le Courrier de l'Ouest, Ouest-France et la Nouvelle République), ainsi, vous vous ferez une idée sur le pourquoi de la décadence industrielle et sur la principale cause de la moyenne la plus basse des rémunérations salariales dans le bassin angevin !.

Merci aux élus pour leur mépris des quartiers sud, sud-est d'Angers, à la revoyure !. Priez le bon Dieu que les futurs habitants de toutes vos nouvelles constructions ne viennent pas grossir le flux de la circulation dans nos rues et sur nos boulevards sud, déjà saturée aux heures de pointe. Dieu merci, il n'y a pas trop d'accidents graves à déplorer pour le moment.

 Le grand débat proposé aux angevins sur le devenir de leur ville, orchestré par le PS local, ne serait-il qu'un enfumage ?. Bien souvent, il se résume à une démocratie participative avec quelques adhérents de nombreuses associations subventionnées. Les travaux dirigés par ces tables rondes ne fournissent qu'un travail cautionné à l'avance par une poignée d'élus.

Alors, dans ces conditions, ne soyons pas étonnés des résultats économiques et financiers,bien médiocres.


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